Moncœur te dit je t'aime Il ne sait dire que ça Je ne veux pas te perdre J'ai trop besoin de toi. Mon cœur te dit je t'aime Il est perdu sans toi Mon cœur te crie je t'aime A chaque fois qu'il bat. C'est surtout lorsque je rentre Que tu me manques Il faut dire que chaque soir, tu m'attendais Et malgré ma solitude Inorder to see the lyrics of Frédéric François - Mon Cœur Te Dit Je T'aime it is necessary to have java script enabled browser.We have another 10 lyrics of songs by Frédéric François, that you are able to see on the right or clicking on the artist's name.We plan in the future to enable the possibility to make translations of Frédéric François - Mon Cœur Te Dit Je T'aime lyrics on Jene veux pas te perdre. J'ai trop besoin de toi. Mon cœur te dit: "je t'aime". Il est perdu sans toi. Mon cœur te crie: "je t'aime". À chaque fois qu'il bat. C'est surtout lorsque je rentre. Que tu me Mespensées et mon coeur sont à toi, Ma vie ne rime à rien sans tes bras! Depuis, que tu es entré dans ma vie, Tu me fais découvrir la vie en rose, Et à fait renaître mes rêves et mes envies Mon coeur devant toi, est en pause. Tu m'es plus précieux que l'or, Je te veux pour l'éternité. Je t'aime, je t'adore, Et me comble de ta Ref Seigneur tu m’as séduit et je me suis laissé séduire tu m’as terrassé tu m’as vaincu tu as été le plus fort, [malheur, malheur, malheur à moi si je n’annonce la parole, la parole du Seigneur.] (bis) 1- Je me disais, je ne penserais plus à lui (o seigneur), je me disais je ne penserais plus à son nom (o yahwé mon Dieu) alors c’était dans mon cœur comme un feu SiteForum chrétien catholique pour l'Evangélisation par la Parole de Dieu et par la prière selon le Temps liturgique mise à jour quotidiennement bonne visite à tous ♥ . La maiso G n a l'air plus grande, surtout la chambre, Il ne reste rien de toi que ton parf D um, Je déco Am uvre en ton absence, un D vide immense En voy Am ant s'ouvrir les D roses du jar G din, Je vis p G rès du téléphone, mais quand il sonne, C'est jamais le coup de fil que j'espér D ais, Tu m'oubli Am es et moi je chante, m D ais si je chante, C'est seuleme Am nt pour me rete D nir de pleure G r. Mon coeur te dit je G t'aime, il ne sait dire que D ça, Je ne veux pas te per D7 dre, j'ai trop besoin de t G oi, Mon coeur te dit je t'aime, il est perd G7 u sans t C oi, Mon coeur te crie je t'aim D7 e, à chaque fois qu'il b G at. C'est surtou G t lorsque je rentre,que tu me manques, Il faut dire que chaque soir, tu m'attenda D is, Et ma Am lgré ma solitude, p D ar habitude, Hier enc Am ore je t'ai fais ch D auffer du café G , Je dois pe G rdre un peu la tête, dans ma défaite, Je t'invente et je ne sais plus où j'en sui D s, À nouvea Am u tes yeux m'éclairent, J D 'ai ta lumière en coule Am ur sur des photo D s, Tu me souri G s. Cette chanson évoque le sentiment d’attachement et de manque. D’après les paroles de la mélodie, le personnage vit dans le désarroi et la monotonie sans sa partenaire, désormais son ex. Il découvre en son absence un vide immense ». Le pauvre amoureux passe le clair de ses journées près du téléphone, dans l’attente jamais satisfaite d’un appel salutaire de la part de sa précieuse ». Mais toujours, s’il chante, ce n’est que pour se retenir de pleurer ». Voilà la situation décrite et chantée par Frédéric François dans ce merveilleux titre sorti en 1984 sur son album Olympia 2000. Frédéric François une carrière musicale bien réussie Frédéric François est un artiste belge dont la popularité n’est plus à démontrer. Avec ses 40 ans de carrière musicale, il est actuellement le troisième chanteur le belge ayant vendu le plus d’albums dans toute l’histoire. Mon cœur te dit je t’aime » est sorti en 1984, sur son album du même nom qui a été triple disque d’or. Il a par ailleurs obtenu 85 disques d’or et 15 récompenses d’or pour ses singles et albums. L’ITINÉRAIRE Fort-Lamy-N ‘Djaména paré en Ir ! Prendre une plume d’or pour vous écrire, Est à la fois un sacré devoir et immense plaisir. Depuis la retentissante défaite de Rabah et ses bazinguirs A deux pas d’une victoire escomptée sans coup férir. Et le repère du commandant Lamy parmi ceux qui ne respire. Plusieurs décennies se suivirent au goût du meilleur et du pire. Dans cette espace hier et aujourd’hui point de mire. Sur la rive droite du Chari qui s’étire et transpire, S’éleva du sol la muraille des nouveaux sirs. Fort Lamy pointa en signes et signaux son avenir, Par sa naissance en garnison dur à cuire pour tenir. Les colons s y fixèrent avec leurs bagages, canons et tirs, Sous les regards amusés des Barmas, leurs Mbang et émirs. Quant au gros reste de l’armée rabiste en mal de vizir, Il rumine amèrement ses revers et lointains souvenirs, Et le j’y suis j’y reste d’Émile Gentil en délire, Tout droit dans ses bottes et par une chaleur à fondre la cire A une époque ténébreuse qui ne prêtait guère à rire Mais donnait plutôt beaucoup à réfléchir Et qui se faisait entre construire et détruire Fort Lamy d’alors regardait déjà son futur venir Ardep Tchaou Tchaou, Trab-Marigot, Matabano et Labito se bâtirent Avec au sud-ouest Djambal barh et Djamal gato kabir Aux limites frontalières difficiles à lire et à traduire ; Du régime casque qui nous asservit des années avant de partir A tous les systèmes au plus dur qui nous tinrent et ternirent Et en cette ère de la Démocratie qui débat richement et respire Se conçurent dans nos têtes et produisirent Les nouvelles donnes qui dans nos quotidiens se fondirent. Quant aux associations de la société civile en devenir, Elles se multiplièrent murirent pour nous instruire et nourrir L’Association des Lamy Fortains et N’Djaménois toute en reluire Se pose, se recompose et s’impose dans la cité pour agir Alam N’dja un pour tous, tous pour un et pour tout dire, Cohabiter en symbiose avec en or les plus beaux sourires, Se brasser et se solidariser en francs et éclatants rires. Nguerebaye Adoum Saleh SANS TOI HABIB, SANS MON INNOCENCE Oui Habib, j’ai appris ton mariage hier soir Sans rancune reçois mes félicitations J’aurais pu venir te voir pour te le dire et je n’ai pas voulu Je refuse te montrer mes larmes couler J’aurais pu t’appeler pour te le dire et je n’ai pas voulu Je refuse te faire réécouter ma voix J’ai cru en nous jusqu’à apprendre que tu t’es marié hier soir Et c’est avec une cousine de toi Habib on s’était promis amour et mariage Non. Nous n’avons plus les mêmes sentiments Habib Non. Comme l’a su bien dit ta maman, je ne suis pas faite pour toi 3 ans d’amour, de sacrifices Il semble que je n’ai pas compté plus que ça pour toi Habib Ta mère et tout ce qu’elle t’a dit comme son fils doit se marier a une fille vierge Ma virginité tu m’as arraché Habib, et ta maman le sait pourtant J’ai tout donné pour t’aimer Habib Alhamdoulillahi Comment est-ce possible de me faire cela Habib Alhamdoulillahi Ainsi, je suis sans toi Habib, sans ma virginité Pourquoi me détruire, je t’ai tant aimé Habib J’ai une famille comme la tienne, tu devais l’épargner Oui, c’est ma faute, ma faute à moi Donc, j’ai mal agit, je le sais maintenant Mon Dieu je regrette, j’avais perdu la tête Je croyais qu’à 17 ans je savais tout Oui, j’ai enfreint à ma foi, je reviens vers toi Dieu Et essayer de ne plus recommencer mes écarts Dieu, ne me laisse pas tomber Rétablit moi tout puissant je me soumets à la damnation suprême Et rend moi justice, une fois ma punition terminée Guisséma. l'Aradienne COMMENT UN AMOUR EST NÉ J’ai connu l’amitié, il a fallu te connaÃtre Minda Tu étais tout ce que j’ai de sérieux Tu es devenue ma confidente Je te confiais tout, même ce que ma mère n’a pas su de moi Un jour tu m’as dit que tu partais pour des études au Maroc J’étais content pour toi, mais j’ai eu de l’eau dans les yeux Tu étais une amie, une sÅ“ur pour moi  A l’aéroport de N’Djamena, j’ai fermé les yeux Pour ne pas te voir partir sans pouvoir te retenir Sur le tarmac près de l’avion, ma main tu l’as saisi Tu m’as demandé mon dernier mot Traumatisé par ton brusque départ, je me souviens t’avoir dit Je t’aime Minda Tu m’as répondu Je t’aime autant Ton avion a décollé, tu es parti J’ai connu l’amour, il a fallu que tu t’en ailles Minda Pourquoi Dieu je n’ai pas su depuis J’aurai pu te dire je me perds si tu me laisses partir Pourtant un amour, je l’attendais depuis longtemps De Maroc ou tu vivais tu m’as écris Sur ta lettre était dessinés deux cÅ“urs mêlés J’ai vu mon nom dans l’un des cÅ“urs Cela a attisé la petite flamme dans mon cÅ“ur Aujourd’hui comme un croyant a perdu son dieu Je n’ai plus la force de croire en la vie Je ne sais encore si je te reverrai un jour Je gagerai le Tchad si on me dit que c’est la condition A petit feu, je meurs mon bébé Minda si jamais tu m’entends, reviens-moi A quoi ça sert de vivre si je ne peux la partager avec toi Voilà ce que mon cÅ“ur se demande Koidji PL- Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. 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Poème dédié à chérie Minda EN VÉRITÉ BÉBÉ MINDA, L'AMOUR, LA VIE, C'EST Très satisfait par notre élevée amitié Je n’attendais point d’autres divinations Je n’ai pas vu venir cet amour messianique Qui, aujourd’hui je ne peux que l’écrire en ta gloire, en ton nom Minda Qu’il soit écrit sur mon front, c’est l’arche de Noé que je viens de manquer Qu’on ne me pleure pas, car de tout temps les larmes n’ont rien servi Dans cet enfer, dans ma douleur, mes rêves, mes idées et mes prières je te les dédie Minda Il a fallu que tu t’éloignes de ma vue Pour que je comprenne que tu étais l’anneau de ma vie J’aurai dû lire dans tes yeux qui me perçaient à chaque regard J’aurai dû m’interroger pourquoi il fait si beau dans mon cÅ“ur lorsque tu me donnais la main J’aurai dû savoir pourquoi je ne peux prononcer ton nom sans frissonner J’aurai dû connaÃtre pourquoi j’étais autant jaloux quand d’autres t’approchaient J’aurai dû comprendre pourquoi je me sentais si bien dans ce Tchad en lambeau J’aurai dû me rendre compte que l’amour c’est toi Minda Je veux que tu saches bébé-Love Contre toute la fortune du monde, je ne veux que toi Minda A quoi ça me sert de gagner, si je ne peux la partager avec toi Contre la princesse d’Angleterre, j’ai fait mon choix, c’est toi Minda A quoi ça me sert de vivre sans amour Contre le Tchad, c’est sur toi que je miserai Minda A quoi ça me sert un pays qui vit de haine Par amour, j’ai fait de ta lettre ma bible de chevet Par sensation, j’en fais une lecture entre deux pensés Par Dieu je t’attendrai, sans une prophétie, sans un espoir Par cette cruelle vie qui m’a sacrifié au dépend du Maroc, Minda tu restera mon combat Par les dieux de l’amour, je resterai tien, Minda Par la douleur, je sais aujourd’hui ce que c’est, être seul, avoir froid Tu me manques Minda, tout en moi te réclame Déambulant comme un nouveau orphelin, entre Moursal, Farcha, Mardjandafac Il n’y a que toi qui puisse savoir pourquoi je parle seul Je ne sais pas par quel prodige je suis encore en vie Minda Je ne sais pas non plus si je peux tenir après cet été qui s’achève Je sais cependant que seul ton amour pourra changer mon présent, mon destin Survienne que pourra, je t’attendrai Minda Et si un jour je pourrais te revoir Minda……….. Koidji PL- Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. NOTRE HISTOIRE D'AMOUR, MON AMOUR AZZURA De l’amour, j’avais une vague idée, une épitaphe nommée Romeo et Juliette Tchadien que je suis, je connais malheureusement plus la guerre que l’amour Dans mon fort intérieur, il ne me restait que quelques rêves Je me souviens que je caressais le rêve de connaÃtre la vérité sur l’amour J’ai entendu quelqu’un dire que sans amour on est rien ou zéro Puis un matin je t’ai rencontré Azzura, et amis on est devenu Par Dieu, je n’aurais jamais pensé à autre chose que ton amitié Azzura Des heures, des jours, des semaines, puis 3 mois ont coulé Faisant de nos correspondances une verve fabuleuse Je n’ai pas remarqué, je lisais cent fois chaque message que tu m’envoyais Par Dieu, je suis au moins certain que ce n’était pas pour comprendre Comme une pendule, je te sentais gravir avec douceur les marches qui mènent à mon cÅ“ur Comme le soleil levant, j’ai trouvé en toi une lueur qui veut me guider Fallait voir combien il fait céleste dans mon cÅ“ur à chaque minute qui s’égraine Sitôt, dans mon cÅ“ur j’ai découvert un paquet de sentiments J’ai ouvert le colis, j’aurai voulu savoir quand, comment et qui l’a déposé Sur une partie était écris Azzura, je l’ai refermé et je te l’ai porté Sur ton prochain message, tu m’as écrit en rouge JE T’AIME J’ai aussitôt compris que c’était bien mes rêves que je viens de te les porté Une voix intérieure viendra me rassuré encore, c’était bien toi Azzura que j’attendais Bébé, jamais j’ai eu autant de force pour croire en l’amour J’irai jusqu’au bout de mes peines pour te dire que toute la vie on s’aimera T’aimer, te suivre et te comprendre quoiqu’il arrive, voilà mon serment ma chérie Poème dédié à elle, elle Azzura ma habiba, elle qui fait mon bonheur tous les jours Arom Choco, Celui qui t'aime DÉCOUVREZ MON PARADIS Ma chère terre Il existe un pays où le soleil est si doux Que l'on garde sa chaleur En son cÅ“ur pour toujours Un pays où le passé témoigne encore de sa richesse Un pays où le sable est si clair que l'on a inventé pour elle le mot TCHAD Un pays qui ressemble à un jardin où les gens Qui y vivent attendent la fraÃcheur du soir et partagent avec vous des joies Un pays synonyme de bonté et de tranquillité Un pays où tout est plaisir malgré ces guerres civiles Depuis Longtemps tous ceux qui ont l'habitude d'y venir pour découvrir vous le diront Il fait bon vivre dans ce pays de TOUMAI                      Demain lorsque vous viendrez Vous serez vous aussi sous le charme Et tous ceux qui découvrent ce pays Vous rêverez d'y revenir souvent Car ce pays la terre de TOUMAI plus on le connaÃt plus on l'aime Ce pays c'est le TCHAD Je dédie ce poème à tous les tchadiens frères et amis pour leur montrer à quel point notre cher pays est beau! Par Zara Mahamat TCHONAI ELIMI, Étudiante à la faculté des sciences économiques de Meknés/Maroc AZZURA,MON PREMIER AMOUR Mes premiers mots d’amour pour toi Azzura mon premier amour J’acquiesce que je ne trouverai pas les mots pour te dire combien je t’aime Azzura Je consens qu’il me faudra plus que des mots pour te dire mes sentiments J’agrée que je ne saurai jamais te remercier autant, habiba Azzura Je souscrit que je te dois une reconnaissance éternelle, mon amour Néanmoins bien aimée, laisse-moi te crayonner la toile de mon penchant pour toi Quand la vie a fait de moi aussi seul qu’un orphelin en emportant ceux qui m’ont donné vie Je s’avais qu’il me faudra immédiatement affronter seul ma destinée Quand tant de fois je suis tombé en prenant le plaisir pour le bonheur Je savais qu’il faudra me relever et m’instruire de mes erreurs Quand par une nuit j’ai voulu balayé le ciel d’un regard pour comprendre mon sort J’ai vu une étoile extraordinaire qui semble ne briller que pour moi Tellement belle que j’ai prié Dieu de la vouloir que pour moi Quand Dieu la voulu ainsi je n’ai pas hésité de m’approcher de toi Azzura J’ai trouvé dans ton regard la flamme d’amour, celle qui promet l’éternité Quand nos cÅ“urs ce sont rapprochés pour finalement s’unir J'ai trouvé dans ton amour, les réponses à toutes mes questions Azzura Amoureux, j’ai décidé d’apporter mon souffle pour seconder le tien Fier de ton amour, je te veux âme sÅ“ur ici-bas et au paradis Heureux, j’ai gravé ton nom sur toutes les marches de mon cÅ“ur Par Dieu tu es mon étoile Azzura, tu le seras pour toujours habiba Poème dédié à elle, elle qui fait mon bonheur tous lesjours Arom Choco, Celui qui t'aime JE REVIENDRAIS  YA HABIBTI » Mon univers, loin de toi je suis seul, près de toi je me perds De tes regards mon cÅ“ur se serre et tous mes sens s'en mêlent Je ne peux t'oublier mon ange, je ne saurais à quoi tu songes, corps et âme tu me tiens De rires et de larmes je t'appartiens, mes rêves tu les hantes Précieux silence et quand à toi je pense, grande souffrance est ton absence Comment te dire que tu tourmentes, car ton nom est ce chant qui trouble mon sommeil Quand s'élève ta voix au parfum de vanille, mes narines frémissent de bonheur Et mes yeux s'ouvrent pour chaque rayon de la matinale beauté L'encre qui traduit mes sentiments sur cette page n'a pas de nom Le nom que je veux te donner n'existe pas et je n'existe pas quand tu n'es pas là Seule ta présence donne à mon âme son éternel essence En ce bas monde ou tout n'est que murmure de vie Entre toi et moi une distance s'est créée sans qu'on le voudra Et aujourd'hui je suis seul dans l'empire des amoureux Dans le désert du chagrin, ivre de toi, ivre de douleur et de ton amour Mais dans ce flot tumultueux ou le temps fait chavirer les plus puissants Navires, la graine de mon amour a tenu bon De ressac en ressac, elle a accosté au large de ton cÅ“ur Dans cette ile tant rêvée, notre premier et foudroyant regard l'a fait naitre Et je l'ai arrosé à l'ombre de tes sourires, aujourd'hui je m'offre à toi dans un élan de sincérité Mes sentiments ont fleuri dans ta fertilité de ta douceur et mon être entier est une symphonie de couleurs Marquées de tes délicieuses empreintes et mon cÅ“ur ne bat qu'au tempo de tes paupières Et mille roses couvent nos tendres suaves baisers Je veux te transporter dans un coin de l'univers, loin des larmes ininterrompues, loin de voix monocordes Je viens pour t'enlever, t’arracher au vent de la discorde, à la monotonie des mots, à la parodie des sentiments, Je te ferai vivre dans un coin de l'univers, niché tout au fond de mon cÅ“ur. Aujourd’hui je veux écrire des pages et des pages de mon besoin de t'aimer Aujourd'hui ton image sillonne toutes les contrées de mon âme solitaire Elle arrache du mur de mon passé, les mots sans son, les sons sans essence et les essences sans nom Ton image me poursuit voilà fugitif et captif de ton charme que je ne peux oublier. Chaque recoin de tes lèvres est une plage ou chuchotent quelques confidences à la lune complice! Que dire de plus que je t'aime je t'aimerai pour toujours! Car penser à toi me rend éternel et t'aimer me fait immortel. A mon âme sÅ“ur de toujours YAYA SEBY C'EST LA RAZZIA Ô chers compatriotes en ravage de la patrie ! Lorsque nous sommes embauchés Nous cherchons à tout empocher. Nos poches, regardons-les bien! Elles sont trouées ; Elles jettent tout au pays lointain où nous sommes hués. Pour quitter nous vidions le bureau, tous ôtés, sauf la secrétaire en absence Connaissons-nous la longévité de ces butins, ces trophées, nos proies d’avance ? Aveuglés de l’égoïsme Nous avons oublié le patriotisme. Nous nous sommes plongés dans des méditations étriquées pour un ventre gonflé Tout en rejetant les projections honorifiques pour une patrie développée. Quand les autres nationaux mènent des compétitions avec les pays voisins, Stylo et diplôme à la main, pour le développement de leur patrie. Nous, nous menons des concurrences avec les compatriotes et frères en vain, Poche ouverte et arme à la main, pour la destruction de notre patrie. A quel prix nous avons vendu notre intégrité, notre sens moral, notre conscience Quand nous mettons nos mains dans la caisse de l’Etat voyant des nations en avance ? Le fruit du pillage, le pot-de-vin sont-ils un bonheur ? Connaissons-nous à quel moment nous arrivera le malheur ? Quand nous sommes interpellés par des bâtisseurs Quand nous sommes saisis par le Seigneur. Ô chers dirigeants ! Pourquoi cette impunité Au-delà de la liberté ? Pourquoi cette anarchie En dehors de la démocratie ? Que faut-il faire ? Pourquoi faire ? Il faut un démantèlement des réseaux en totalité Pour un changement positif de la mentalité Hamid Neby Sougoumi, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. CE JOUR VIENDRA ! Oui, il n’est pas loin et ce jour viendra Ce jour où le changement paraÃtra réel Et les mésententes dans toutes leurs formes deviendront irréelles Ce jour où pour une fois la justice sera libre Et où enfin les balances seront à l’équilibre Ce jour où l’équité sera effective Et où la paix dans toutes les couches sera définitive Ce jour où dans tous les débats, l’espoir sera au cÅ“ur Et où toutes les amitiés seront sans rancÅ“ur Ce jour où l’entente nationale fleurira Et où de paix et d’espoir le peuple se nourrira Oui, il n’est pas loin et ce jour viendra Et dans toutes les couches sociales cet appel parviendra Ce jour où pour une cause unique le peuple s’unira Et où bout au du mât, le Â bleu- or- rouge », un citoyen le hissera Ce jour où sans distinction aucune, l’armée ne s’unira Et où au seul nom de la patrie les soldats combattront Ce jour où pour leur dignité, leur sang, ils le verseront Et pour toi seule sans regret ils mourront Ce jour où une génération consciente émergera Et où pour l’éternité, sa patrie, elle l’aimera  Dédié à tous mes amis Enfants de la patrie et à toi ma Patrie pour laquelle agenouillé, j’ai le regard plein d’espoir Abdel-lathif A. Y., Etudiant en météorologie, Oran – Algérie Gsm +213556859214, E-mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. JEUNESSE TCHADIENNE Ou vas-tu? Ou vas-tu dans l'inconscient? Ou vas-tu avec ta paresse? Quand prendras-tu conscience de ton avenir? Quand comprendras-tu que le travail est source de bonheur? Quel sens aimerais-tu donner à ta vie? Pendant que les autres songent aux voies et moyens Pour améliorer leurs conditions de vie Tu te résigne de ta situation Tu fais des débits de boissons Ton cadre de vie Pendant que les jeunes comme toi sont mobilisés Pour lutter contre les pandémies Tu fais de la prostitution Ton loisir favori Oh! Jeunesse Tchadien Sache l'avenir dépend de ce que tu auras fais Comme acte maintenant Alors c'est à toi de prendre conscience pour Lutter contre le tribalisme Lutter contre confessionnalisme Lutter contre régionalisme.... Abdramane Ateib Oumar Excellence Medilah Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Moundou-Tchad FILS DU TCHAD Fils du Tchad de demain Donnons-nous une main Inébranlable et sincère Pour que cessent nos chimères Oublions nos différences éphémères Brisons nos frontières imaginaires Pour que se referme ce gouffre Dont notre fraternité en souffre Refusons l’unique main étrangère Cette intruse et éternelle bergère Pour que se retissent nos liens Séculaires, fraternels et sans fin Vomissons nos haines encensées Densifions nos différents endiablés Pour que siège un Amour sensible Fruit d’une Union forte et Indéfectible Pansons ensemble nos plaies Même si cela rechigne et déplait Aux âmes insatiables vampires Qui n’excellent que pour le pire Cessons de jouer aux marionnettes Mouvant au gré de ces malhonnêtes Qui ont d’état d’âme Que pour leurs intérêts infâmes Puis bâtissons une nouvelle Nation Une Nation digne d’une Nation Qui la quelle régnera une Unité Bâtie sur le roc d’une Ferme volonté. Fadmi solange, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. 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Je ne te verrai plus marcher et parler avec nous, et je ne te verrai plus embrasser notre petite sÅ“ur Madina que tu aimais tant. Maman, mon amour, pendant toute ta brève existence, j’ai tout appris de toi. De ta force et ta détermination à suivre ta voie, même sans possibilité de réussite. J’ai suivi stupéfaite ta lutte pour l’union de tous les ressortissants d’Arada qui veulent à tout moment s’entretuer. Tu as su les réunir, tu as semé dans leur cÅ“ur, l’amour et le pardon de son prochain. Tu n’as pas cédé aux différentes menaces à ton égard, car tu savais pouvoir faire comment pour aider les uns et les autres sans avoir un intérêt quelconque. Pour la simple raison que tu as un cÅ“ur en  OR ». Et tu n’étais pas disposée à donner moins que ce dont tu étais capable. Et quand tu y arrivais, je pensais voilà une femme qui connaÃt de manière si simple et si lucide ses possibilités. Sans prétention, sans arrogance. Qui ne se laisse pas influencer par ce que les autres disent d’elle. Qui trouve la force en elle-même. Ce que j’ai appris par les grandes personnes qui te connaissent depuis l’enfance, tu étais déjà comme ça. Tu vivais en harmonie avec toi-même et avec ceux qui t’entouraient. Tu savais qu’elle était ta place, et tu étais consciente d’être aimée, tu connaissais tes limites et tes vertus. Et en vérité, après avoir réuni tout le monde qu’ils soient ta famille ou les autres connaissances, après avoir était nommée présidente des ressortissants d’Arada, il est apparu clairement quel type de femme tu étais. Aujourd’hui, j’écoute tes amis, tes frères, tes sÅ“urs, tes voisins, et les autres connaissances parler de la femme qui est la première à se lever pour tout organiser et qui n’allait se coucher qu’après s’être rassurée que tout le monde dormait déjà . Au 40ème jour après que tu nous a quitté, j’ai contemplé la maison qui était plutôt en désordre après que des centaines des personnes étaient venues nous rendre visite, pour nous consoler, et j’ai dit il faudrait que Maman soit là pour nous aider à ranger .Tu étais respectée parce que tu restais sur tes positions sans renoncer à aucun de tes devoirs de femme responsable ou d’une mère exemplaire. Quand tu partais à Ati, j’ai très peur que tu te précipites au milieu des gens qui se battent pour les séparer, ou en montant dans un camion tu laisses ta bonne place pour une autre personne parce que cette dernière a plus besoin que toi, ou te sacrifier pour aider un inconnu parce qu’il avait chez lui une situation plus difficile. Tu étais pour moi, une mère et une amie. Et c’était la même chose pour mes autres frères et sÅ“urs. Notre âme est liée à la tienne. Tu vivais en paix avec toi-même, tu étais de ces personnes auprès de qui il fait bon être. Je ne suis même pas capable de dire à haute voix, à quel point tu étais pour moi Â quelqu’un avec qui courir ». Chaque fois que tu rentrais du marché, et juste après ton repos, tu disais viens ma fille qu’on parle. Habituellement c’est quand les autres ne sont pas là et en buvant un verre de thé avec toi .Tu me racontais tellement des choses que Maman, et j’étais fière d’avoir l’honneur d’être ta confidente, que quelqu’un comme toi m’ait choisie. Tu as illuminé ma vie, Maman, tu nous avais élevés, mes frères, sÅ“urs et moi avec amour. Alors, c’était si facile pour nous de t’aimer de tout notre cÅ“ur. Saches que tu as su nous donner ce que tu as. Tu peux me croire, maman, on ne trouvera jamais une femme qui a pleine de courage, de sympathie, de l’amour pour son prochain comme toi. Une femme m’a dit un jour que Quand je viens à la cérémonie ou les réunions avec les Mahariés, chaque personne me regarde méchamment, d’autre ne m’accorde même pas d’importance, sauf ta mère qui me reçois, me dit, viens t’asseoir, à côté de moi; et à chaque fois que je me plains ; c’est elle que je viens voir. Si parmi la famille une personne m’insulte. Elle me dit Ne donne pas d’importance à ce que les autres disent, Dieu ton Créateur sait que tu as ta place sur cette Terre, même les Prophètes ont été insulté pourquoi pas toi. Et à chaque fois que je me rappelle de tes paroles les plus douces que je n’ai jamais jusque-là entendu d’une autre bouche aussi saine que la tienne. Cette voix qui me fait vraiment vibrer le cÅ“ur, sans te mentir tu sais Maman que je ne serai jamais heureuse sans toi, Maintenant je suis obligée d’appeler toutes les grandes personnes  Maman » par ce que j’ai tellement envie de t’appeler, malheureusement que ce nom n’a pas de sens pour celle que j’appelais, mais peu importe car je sais que là où tu es, tu m’entends et tu sais combien je t’aime. Certes je suis croyante mais ça m’arrive ou j’ai envie de me suicider pour la simple raison que tu me manquais mais je ne peux pas te voir. Mais je me contente simplement de ce que tu m’as appris, en me rappelant les moments des bonheurs que nous avons passé ensemble, en me rappelant de tes bénéfiques conseils. Bref, tout me manques à tel point que je ne parviens pas à bien me déterminer. Je n’arrête jamais de pleurer en pensant à toi, excuse-moi si mes larmes te créent de problèmes mais c’est plus fort que moi. Je t’aime d’un amour sans limites. Tu te dis que c’est naturel mais le mien est surnaturel. Tu as été la personne la plus merveilleuse que je n’ai jamais rencontrée jusque-là , et même en me référant sur le sens de ton nom, je me dis que ce n’est pas un nom donné par hasard.  F Fantastique, tu l’as toujours été  A Aimable, tu es aimée par tout le monde  T Travailleuse, c’est grâce à ton courage et ta détermination que nous avons pu réussir  I Indépendante, la preuve en est que tu nous as appris à ne pas dépendre des autres  M Merveilleuse, tu as été hyper merveilleuse dans tous les sens  E Élégante, j’avoue que jusque-là , je n’ai pas vu une belle créature comme toi A Attentionnée, tu pesais toujours le pour et le contre avant de faire quoi que ca soit T Tranquille, tu n’es pas le genre des personnes qui font de touché a tout I Illumineuse, tu as illumine la vie de tout le monde E Éclaireuse, tu as été pour nous comme la lune au 14ème jour. I Infatigable, tu as été toujours courageuse et combattante S Sympathique, personne ne peut se mesurer à toi dans ce sens S Simple, ce qui prouve que tu as des amis de toutes catégories confondues A Attentive, tu étais toujours prête a recevoir et écouter les autres. Maman Chérie, toute notre vie, t’aimer Ne jamais T’oublier Ton image à jamais dans ma mémoire gravée Ta fille qui t’aimerait toujours Hadje Ache Seid Hadjodja ou Am djamal comme tu as l’habitude de m’appeler et je te jure que personne d’autre ne m’a jamais appelée Am djamal après toi. Hadje Ache Seid Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. POUR TOI ROUHiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Pourquoi es-tu parti Tendre et doux Rouhi Si beau, si fragile et si joli Plus que jamais je n’ai eu de cesse De t’avoir prouvé un jour ma tendresse Lorsque tu as eu le besoin d’une amie, J’ai été celle-ci Celle qui pour un peu d’amour T’a offert son cÅ“ur en retour Et qui a souhaité tant te donner  le bonheur Juste avec les mots de son cÅ“ur Toi, dans un mardi d'automne; Avec un simple baiser a conquis mon cÅ“ur, A changer ma vie d'un ton monotone, Et me fais vivre le bonheur! Aujourd'hui, malgré les interdits, Et la distance "Je t'aime" Je rêve, avec toi de faire ma vie, Et comme pour Quasimodo être ta bohème! Le matin, je pense à toi, Et toute la journée, j'ai envie d'être dans tes bras Mes pensées et mon cÅ“ur sont à toi, Ma vie ne rime à rien sans tes bras! Depuis, que tu es entré dans ma vie, Tu me fais découvrir la vie en rose, Et a fait renaÃtre mes rêves et mes envies Mon cÅ“ur devant toi, est en pause. Tu m'es plus précieux que l'or, Je te veux pour l'éternité. Je t'aime, je t'adore, Et me comble de ta gentillesse et ta beauté. Tu es le souffle de ma vie Pour sortir au plus vite de la nuit Dans lesquels nous sommes plongés Comme des nouveaux mariés Alors reviens vite me rechercher Hayati TCHAD Ô! Tchad Ô! Tchad mon pays, Belle terre, Belle patrie. Sur toi que je parle aujourd’hui, par la guerre Que le monde t’a connu .Te suffit le massacre La haine, le clivage et la Dès l’indépendance jusqu’à l’ère de la démocratie Tes enfants ne sont pas endormis .Plusieurs décennies De guerres regardez ce qu’on a reçu  Père, Mère, Frères et SÅ“urs » tous ces chers amis nous les avions Perdus .Chers compatriotes l’ère de la prise de conscience Est venue .Renouveler votre fidélité pour la paix De notre pays .Unissons-nous tous pour la construction et le Développement de notre patrie. Dès l’aujourd’hui vivons nous tchadien du nord comme Du sud dans la paix, dans la tranquillité, dans la stabilité Dans la solidarité, dans l’amitié, dans l’amour Dans la joie et dans la Mahamat kebir, Etudiant à l’université Hassan 1er De Settat Maroc, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Ô! TCHAD MA MÈRE Tchad la belle Tchad l'arc en ciel Tchad multicolore Tchad mère de toumai Tchad mère du mer paléo tchadienne Tchad mère de la belle oasis de houbayki Tu as tout fait pour être belle ma chère terre mère. Terre de l'histoire, terre de l'amour, terre de la joie, terre des fiers guerriers ancestraux, terre des belles fleuves, terre des grandes dunes vierges, terres des faunes, terre des flores, terre des Sao, terre du lac tchad.   Ô Tchad musée du monde Ô Tchad histoire de la planète terre Ô Tchad cour de l'Afrique Ô ma chère patrie ! Combien tu es belle ! Tu as tout fait pour tes fils ma chère mère, et tes enfants ont fait la sourde oreille pour verser tes larmes, Et ce souvent par les armes Et blessé ton cÅ“ur en attirant ta colère Et sali ton nom, en tachant ton renom, devant tes voisins Tes fils ont fait tout, pour la disparition de ton nom Quel égoïsme ! Environs quarante années des guerres sans arrêt ! Quelle misère ! Quel châtiment sur terre ! Redeviens paradis maman Encercle le un million deux cent quatre-vingt-quatre milles kilomètre carré d'amour, de paix, et de joie Et fait venir tes fils qui te pleurent pour te reconstruire tel un paradis terrestre Comme tu l’étais, quand tu étais libre Quand l'homme blanc n'avait pas mis les pieds sur ta terre pure Par Ali Allatchi Nassour, Etudiant à l'institut africain de technologie à Niamey  Option Maintenance informatique et électronique 1er année MON RÊVE BLEU Mon rêve bleu est un rêve d'amour. Dans ce rêve bleu d'amour, je veux t'offrir un monde, Dans mon rêve bleu je veux ouvrir tes yeux. Dans mon rêve bleu j’ai su que tu m'aimais, Dans mon rêve bleu j’ai cru que tu m'aimais alors mon rêve est bleu. Mon rêve est bleu au milieu des nuits des paradis. Mon rêve est bleu et le ciel me parait tellement bleu quand j'étais amoureux. Et je veux ouvrir tes yeux dans ce jardin des princesses Ou je t'avais trouvé alors tu brillais plus que les autres princesses Comme un diamant près du désert de houbayki .   Mon rêve es bleu, pour vivre au milieu des cieux bleus, Sous le ciel bleu des amoureux. Mon rêve est bleu. Je veux t'offrir un monde meilleur Pour que tous sois bleu mon rêve es bleu  Dédicace a toutes les filles de mon pays mon cher Tchad et à mon amie qu'on appelle intimement Lohih ou Lola de la Casa  Par Ali Allatchi NassourÉlève à l'institut africain de technologie 1er année maintenance informatique et électronique Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.  JEUNES TCHADIENS ! O jeune Tchadien Tu t’es développé un phénomène pernicieux C’est celui d’uniformisation forcée Tu t’es fondu dans la masse avec les autres Faisant comme les autres Pensant comme les autres…les autres Et cela au détriment de tes traditions Au détriment de tes obligations religieuses De chasteté, de pudeur et de respect Envers tes amis et copains Envers tes voisins et tes aÃnés Plus de respect et amour envers tes parents O jeune Tchadien Il est temps pour toi de changer Changer vers une intégration réussie N’imite pas aveuglement un autre mode de vie Garde tes valeurs fondamentales normalement Vie ta religion dans ton environnement Prends et assimile tout ce qui pourrait t’apporter du bien Enrichie-toi de tous ces aspects positifs Et délaisse le reste Génère un terreau fertile d’enrichissement mutuel Et ne renie jamais tes valeurs et ton patrimoine culturel Au nom d’une intégration béante et irréfléchi. NB à certains de mes compatriotes copiant aveuglement l’autrui dont certaines de ses pratiques ne sont pas compatibles aux nôtres. Brahim Mahamat Mai, Marrakech – Maroc UN SALUT A tous porteur d’espoir A ceux qui ressaisissent Pour se faire valoir Pour nier toute sorte de bassesse A ceux qui visent haut Pour ne plus être bas Qui résistent en chair et en os Qui pour réussir acharnent des combats A ceux qui ne se rendent amis Qui ne connaissent pas la détresse Qui ne cèdent pas à la tristesse Qui ne trahissent ni chers ni amis A ceux qui ont marqué l’histoire Par leur bravoure par leur volonté Qui évitaient l’illusoire Qui souffraient sans laisser partir A ceux qui font la différence Entre l’être et le paraÃtre Qui nient la défaillance Qui tombent mais finissent par se remettre Ecrit par Zara Mahamat tchonai Elimi AUX PAYS DES VAUTOURES Aux pays des vautours Nos vies expropriées, nos existences s’étiolent Nos têtes baissées, comme des poules quémandant leur propre vie Nos pieds alourdis et martyrisés par un pèlerinage forcé au pays de l'angoisse Nos cheveux déracinés de nos crânes sont balayés par le vent de l’harmattan Aux pays des vautours Nous subissons la colère d’une vieille hystérie incurable Nous sommes encadrés et surveillés par des boulimiques Des assassins, des sanguinaires de tout calibre Nous sommes soucieux et incertains Aux pays des vautours Nos femmes violentées et violées font le délice de nos bourreaux            Nos enfants toujours mornes et martyrisés par une consomption répressive Même pas une fumerolle d’espoir ne nous alimente Les hommes juchés sur des chevaux nous soulèvent de la poussière aux yeux Aux pays des vautours Nous payons les tributs d’une vieille haine orchestrée par des gens putrescibles Nous mourons comme les rats assommés par la peste Nous mourons de faim et nous mourrons à cause de la cruauté humaine Nous mourons à petit feu Aux pays des vautours Nous sommes sans repère                      Nous nous séjournons sur l’ombrage du voisin oppresseur On nous fait manger les pierres amères de désolation La quiétude et la paix ne sont plus qu’un souvenir émoussé Aux pays des vautours, La crise nous a traversé les os Nous sommes devenus tous faméliques Nous nous lançons involontairement des invectives Nous nous révoltons parfois contre nous-mêmes Aux pays des vautours, Nous vivons l’attente de libération de l’enfer vécu Nous voulons revenir de l’exil, bâtir notre bonheur Un jour viendra où les assassins seront jugés Ce jour-là nous vaincrons et nous retrouverons notre liberté Je dédie ce poème à tout le peuple du Darfour qui souffre atrocement de la cruauté Etudiant en philosophie à Kinshasa. Contact Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou 002430815633113. KEOUL BOLNGAR Laurent O MON PAYS Pourquoi le sang de tes enfants coule partout, en pagaille Et met tes enfants toujours en deuil ? Pourquoi tes enfants se livrent à la bataille? Au lieu de se mettre au travail ? Pourquoi tes fruits murs se transforment en feuilles Qui tombent dans des poches qui endeuillent ? Pourquoi tes fruits non murs se transforment en volailles Qui s’envolent par la porte à large vantail ? O ma patrie Pourquoi tes fils aÃnés tuent la vache laitière gaillardement Pour manger la viande et le sang précipitamment Au lieu d’attendre ses productions le lait, les veaux, patiemment ? Que feront tes petits-fils laissés à eux-mêmes injustement ? Prie Dieu pour tes petits-fils damnés effectivement Pour les actes de tes fils commis sciemment. Hamid Neby Sougoumi , Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. . Etudiant en Génie civil à Ouagadougou Burkina Faso, pays-des-hommes-intègres JE NE SAIS PAS SI J’AI RAISON... J’ai versé plein de larmes devant de petits enfants. Pourtant mon Père m’avait dit de ne jamais verser des larmes devant de petits enfants, et surtout pas devant les femmes, Je ne sais pas si j’avais raison de le faire ? Ils ont trouvé aberrant qu’un adulte puisse verser tant de larmes Le plus petit s’est lancé dans un rire sarcastique Ces enfants ont-ils tort de se moquer de moi ? Je ne sais pas si j’avais raison de pleurer devant de petits enfants aussi innocents et naïfs ? Avais-je le droit de le faire publiquement devant des êtres aussi fragiles ? Ah ! Mon Å“il  Le Grand-père m’avait dit un jour un homme adulte ne pleure que, quand c’est la catastrophe totale. Et même si cela pouvait avoir lieu, il ne doit pas accorder droit de cité aux femmes ou aux enfants, Mais je me suis rendu compte qu’il le fallait. Même si je ne sais pas si j’ai raison… Je me suis agenouillé devant le plus jeune. Je lui avais dit as-tu vu déjà un adulte pleurer un jour ? Le plus petit qui ne savait rien du tout s’est plongé davantage dans un rire plus disproportionné. Je lui avais dit donc pourquoi ‘’ j’avais pleuré’’, même si je ne sais pas si j’ai raison, Je pleure pour votre avenir, Pour votre avenir boycotté et saboté par les hommes politiques Par les hommes qui n’ont aucun souci de la progéniture et de la génération Par les hommes qui ne pensent jamais à une alternance générationnelle Des hommes qui ne pensent qu’à leur ventre et le ventre de leur petite famille A vous, ils ne donnent que le glaive et la souffrance Ils vous recrutent pour tuer vos propres parents au risque de votre propre vie Ils vous appellent communément des enfants soldats, Certains enfants de votre âge disent que tuer n’est plus difficile pour eux, Tuer pour eux, c’est comme boire un verre d’eau Je ne sais pas si j’avais raison de leur en parler ? Etait-il concevable de raconter des choses aussi ardues aux enfants de cet âge ? Même si je ne sais pas que j’ai raison, je crois qu’il le faut Chère Afrique qui parlera de toi demain, Pourras-tu continuer à sacrifier la vie de nombreux innocents pour quelques individus attachés à la vie comme s’ils maÃtrisaient la contingence du temps ? Tu continues par te blesser, il ne reste plus que ta mort… Les rapaces et les vautours ne cessent de rendre ta plaie incurable, Je ne sais pas si j’ai raison de te dévoiler les vérités les plus blessantes de mes entrailles ? Je crois qu’elles peuvent te rougir les yeux mais elles ne peuvent jamais les casser. Prends soin de tes petits sinon, tu es entrain de creuser ta propre tombe. Je dédie ce poème à tous les enfants qui sont recrutés par la force pour combattre et à tous  les enfants qui meurent innocemment pendant les combats. KEOUL BOLNGAR Laurent, étudiant en philosophie à Kinshasa RDC e-mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. tel 002430815633113 AMIRA Oh ! Amira Ta démarche m’a attiré Tes paroles m’ont vibré Ton absence m’a emprisonné Ta présence m’a libéré Oh ! Amira Loin de toi je suis bouleversé Loin de toi je suis démoralisé Loin de toi je suis troublé Loin de toi je ne me sens ni fort ni médian O mon âme étonné triste jusqu’à la mort Toi que j’aime la belle aux cheveux d’or Toi la charmante qui ne supporte pas l’injustice Toi l’élégante qui ne supporte pas l’infidélité Oh! la jolie de collège évangélique Ton absence éteint la lumière de mon âme Combien de temps faut-il que je pleure pour ton amour Oh ! Amira dis le moi J’aime te voir à tout moment Toi la belle incomparable Quand j’entends ton nom, mon cÅ“ur en moi frémi Chère aimée, sang de mon cÅ“ur Ne me laisse pas au bord de la route Sans toi je préfère mourir que de rester dans ce monde O mon Dieu pourquoi tout ce monde est derrière cette belle âme Que Dieu te mette entre mes bras À l'occasion de la fête du 14 février. Je dédie ce poème si romantique à AMIRA DU Collège Évangélique ABDALLAH CHIDI DJORKODEI,  Étudiant à la faculté des sciences et techniques-Gueliz de Marrakech MAROC Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. TCHAD Mon pays du peuple insomnie Par le traité de pastoraux incompris Écoutant le vent mugir Debout et il faut hennir Peuple sans mugissement Acceptant toujours des kicks Souriant à des coups de bottes  Regardez ces nuages par-dessus saluant Cette terre chaude par dessous brûlant Ce soleil luisant bouille l’encéphale Pays de l’harmattan de cosy à brûlure Peuple sans mugissement Acceptant toujours des kicks Souriant à des coups de bottes Et ! Toi qui hurle dans des beaux draps Et ! Toi qui cri haut comme le geai Titubant toujours à petit pas Te heurteras un jour au cité de si je savais Là  ! Là  ! Là  ! Tu erres Euh ! Euh ! Euh ! Tu dis Ouie ! Ouie ! Ouie que tu cris Pire chauvin que tu es Tu finiras à un pipa Si tu ne me fais pas confiance Si tu acceptes ce pillage Là  ! Là  ! Là  ! Tu erres Euh ! Euh ! Euh ! Tu dis Ouie ! Ouie ! Ouie que tu cris Pays martyrisé par ignorance Qui gisait du sang innocent Épousant aveuglement un sillage politique Détrompé par des hommes à chaire toxique Pays acceptant toute clinquante externe Des cliquetis soulevant comme des tourbillons Réclament vaillamment une expansion Des obèses se prenant à nos lobermans Avec des beaux laïus trompant Qui mettant le pays à plat Empêchant de lever le pas Bouge ! Bouge ! Bouge de tes gris-gris Chahut ! Chahut ! Chahut de ce chagrin Vol ! Vol ! Vol comme une grive Fait-moi ton devin Je serai le plus proche de tes dauphins Un grand sourire de fourmi que tu feras Sans piédestal tu l’accrocheras C’est avec joie tu crieras Yi ! Yi ! Yi tu entonneras Enfin tu prendras ton fils dans tes bras Je hâte de te délester De cette traité de continence Te sauvé toutes tes pucelles Ces plaies ne te seront pas mortelles Ainsi une lumière sombre éblouira Une joie alarmée coulera Voila promptement rétabli… Abderaman dadi chidi Etudiant à l’université El hadj Lakhdar de Batna   ALGERIE e-mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. J'AIME MON  PAYS COMME TOI Quel enfant pourra prétendre abandonner sa mère ? Quel enfant pourra oser nier ses origines ? Je sais que ma mère est malade. Cette maladie n'est pas incurable. Ma mère, qu’elle soit lépreuse ou paralysée, Elle demeure toujours ma mère. Je suis sûr, ma mère va se relèvera un jour, Elle se relèvera pour me redonner l’espoir, Je ne suis plus pessimiste, j’ai cessé d’être incrédule. J’ai vu la mère de mon ami se relever après une rude épreuve, Elle marche, elle n’a pas une démarche bancale. Quand la saison sèche cède la place à la saison des pluies, Tout renaÃt et reprend forme, Les arbres dépourvus de feuilles, revêtent leur tissu d’espérance, Je donne tous les jours la joie à ma mère, Même dans la douleur la plus aigre et l’épreuve la plus désespérante, Ma mère s’efforce de sourire Elle me redonne la vaillance du vrai guerrier prêt à tout faire, Toi cher ami, cesses de te moquer de moi, Cesses, de te moquer de ma souffrance. Je suis un homme comme toi Un homme capable de relever un bon matin, sa mère de son infirmité Le TCHAD mon beau pays deviendra un jour comme ta mère. Il retrouvera la paix et le bonheur. KEOUL BOLNGAR Laurent, Étudiant en philosophie à Kinshasa Je dédie ce poème pour l’espérance d’un changement, Durable au Tchad. E-mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. VICTIMES DE GUERRE Victimes de guerre je pense à eux mes frères qui mènent une vie amère dans un monde sans espoir dévorés par le pouvoir tenus entre les mains d'hommes malheureux, qui causent des guerres en se croyant heureux, au détriment de leurs prochains, qui souffrent de faim dans ces guerres meurtrières que sont victimes les enfants qui substituent ces épreuves de misère ces innocents qui n'ont rien encore fait au monde ont besoin de transmettre leur profonde pensée à leur société qui fera leur fierté pensé au devenir des peuples face à l'avenir dans sa relève exterminée dans ces guerres insensées . Enfant de troupe Youssouf Barkai, prytanée militaire de Saint-Louis Sénégal BP404  Tel E-mail  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. MALGRÉ TOUT CE QUI EST ARRIVÉ, JE N'AI PAS CESSER DE T'AIMER  Depuis qu'on s'est rencontré  Nous sommes passés par de sublimes moments  Mais aussi par de tristes moments qui nous ont permis  De renforcer ce bel et tendre amour qui durera à jamais  J'ai lu dans ton regard  Tellement de choses  Aucunes n'était due au hasard  A cause de tes actes, de tes mots  J'ai vu rougir mes yeux,  Je ne veux plus qu'on me parle de tes actes  Mon cÅ“ur et mon esprit dans cet état sont tellement affaiblis  Tout ça à cause de toi  Sinon malgré ton honneur  Tu ne mérites pas des actes comme çà  Toutes tes conneries je n'ai pas à supporter  Toute cette merde qu'est mon destin  Tu m'as suffisamment fait souffrir  Toi aussi tu as le droit au bonheur Je ne pourrais rien faire  Malgré tout cela je t'aimerai toujours  Ne crois pas que j'ai oublié ton amour  je pourrai mourir d'amour pour toi  je pourrai tout donner pour toi ma vie, mon âme, mon coeur...  je ne peux pas vivre sans toi et je pourrai même  pas survivre; je ne vois pas ma vie sans ton doux amour  toi et moi c'est pour toujours  Je peux tout faire pour te satisfaire  Tout dire pour te faire plaisir  Tout sacrifier pour te rejoindre   Tout te raconter plus que la vérité  Mais la vérité c'est que je t'aime  Avec tout çà je t'accepte  Et je voudrais que tes parents m'acceptent de t'épouser.  Tu sais ma bien aimée les conséquences t'ont corrigé  Mieux que les conseils que je t'ai donnés.  Comme çà tu peux éviter cela pour que prochainement  Ca ne reviendra jamais chez toi  L'amour se conjugue à tous les temps  Mais le plus important pour moi c'est le futur Tu sais c'est toi mon avenir Les erreurs que tu as faits ne peuvent pas être un obstacle à notre amour Notre Amour Restera Éternel même dans l'au-delà il continuera. Que Dieu nous unis pour construire ensemble une famille Oublies tout ce que tu avais fait et penses à ce qui doit arriver Ma chère j'ai pardonné tous les erreurs que tu as faits Moi je crois beaucoup au destin qui me montrera le bon chemin Ma chère si Dieu a voulu qu'une chose arrive on ne peut rien empêcher Je te dis qu'à partir de maintenant il faut bien réfléchir avant d'agir. Si tu m'as compris tu vas me voir mourir de plaisir.... JE T'AIME, IL FAUDRAIT QU'ON S'AIME C'EST AINSI QUE FINI CE POÈME Par Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la Ô MAO ! Ô ROYAUME DU SILENCE ! Ô nostalgie ! Ô voyage ennemi ! Loin des miens, loin de tout, loin de Est-ce bien Mao, cette ville au-dessus de laquelle surplombe ce grand château d'eau ? Est-ce bien Mao, cette ville qui se trouve dans ce creux entouré de quatre pittoresques oasis ? Est-ce bien donc Mao, cette ville aux murs blancs et à l'architecture ancestrale ?                   Ô Mao ! Ô ma mère poule ! Je n'ai jamais cru te manquer ainsi. Ingrat je ne le suis pas. Jamais je n'ai passé une seule seconde sans penser à toi.                    Ô Mao ! Mère de mes aïeux. Cet enfant que tu m'as vu grandir, cet élève que tu m'as vu former. Je ne t'ai jamais oublié, je me souviens de toi, je me souviens encore et toujours. Je me souviens de ces moments excellents passés dans les travaux champêtres. A Barary, à Bozonga, à Mollory... Je me souviens de ces moments excellents dans les jardins, dans les oasis. A Moto, à Youlo, à Kouloula, à Moboye, à Mollory...pendant les récoltes des dattes. Je me souviens encore de ces excellents moments passés entre le lycée et la ville. Les mercredis au marché, les va et vient entre l'hôpital, chez Adji Baba et chez Selgui. La navette entre la mairie et la  Maison des Jeunes ». Les affaires à la station et soudain la chaleur de midi. Ceux qui trouvent refuge chez Harouna, chez Allaou ou chez Moustapha Djarma à côte. Je me souviens toujours de ces  Toudjar » nocturnes. De ces jeunes noctambules et infatigables qui déambulent de Katanga à Lakouass, de Bornoty à  wiché wiché » à l'autre. Cette nuit calme pleine d'esprits, cette nuit de claire lune. Ce vent doux qui souffle, ce tapage nocturne qui transporte un tohu-bohu rappelant la mémoire sombre de nos ancêtres ; guerriers et dignitaires religieux qui sont tombés à l'époque des razzias esclavagistes. Ô Mao de mes aïeux. Je suis conscient également des maux dont tu souffres. Je le vis comme dans ma chair, ces maudits ravins qui ne cessent de te déchirer depuis belle lurette et qui continuent d'en avancer parce qu'on croit fatal. J'ai le cÅ“ur gros quand j'évoque ce désert galopant qui t'engloutit en pleine ville. Je suis conscient aussi de ta souffrance. De la souffrance de ta jeunesse. Je souffre au nom de cette jeunesse qui est désÅ“uvrée, mal formée et non renseignée, par manque d'emplois, manque de sensibilisation ou par manque des professeurs au lycée. Cette jeunesse qui ne sait plus à quel saint se vouer. Je suis aussi conscient et je compatis fort avec ta population féminine. Je souffre au nom de ces femmes qui sont ignorantes, analphabètes parce qu'elles ne sont pas faites pour l'école, subissent tous les caprices d'un monde en perpétuelle évolution. Ces pauvres femmes qui à défaut d'information, de personnel non qualifié à l'hôpital ou à cause de l'éloignement de centres de santé, finissent par succomber à des minuscules maladies et rendent l'âme à cause de non-assistance lors de l'accouchement. Ô Mao ! Ma ville bien aimée. Mao ma référence, Mao mon identité, Mao ma personnalité. Mao la ville de tant d'histoires, de tant d'éloges, de tant d'auteurs compositeurs. Mao de Mallah Husseini, celui de Moulli Oboymi, de Youssouf Eguidou, de Kaltouma Choungoul, de Dackou Chouwdow. Je suis conscient de tant de maux qui te minent, mais, Hélas ! Mao, était-tu aussi radin que ça pour mériter ce sort ? Tes fêtes traditionnelles, tes danses folkloriques ; kadre sile, Toumbole, Bala . L'enfance heureuse que tu as offerte ; leDiné Tangayé, le Morgouw, le Forey, le Torma-Torma, le Bossona, le Kortètè... Pourquoi alors ta propre progéniture t'a aussi délaissée ? Qu'ont-ils fait pour toi ces hommes politiques qui se disputent le leadership à ton nom ? Qu'ont-ils fait pour toi ces démagogues députés .Après deux mandats à l'Assemblée ? Qu'ont-ils fait pour toi tous tes enfants ; hauts fonctionnaires, cadres intellectuels et grands commerçants qui se prélassent dans des villas somptueuses de part le monde ? Qu'ont-ils changé de toi ses associations de promotion et de droit de l'Homme qui arborent le long du marché ? Quel visage a pu te donner la mairie après près d'une décennie d'existence ? Qu'ont-ils bien amené de nouveau ces notables  Amis de Mao » ? Ô créateur des cieux ! J'ai beau pleuré, je n'ai pas des consolateurs, mais je reste optimiste. Oui je suis galvanisé tant que, existent encore l'école pilote bas-fond, l'école du Centre, l'école Dirchi et le lycée Alifa Zezerti. De ces pépinières germerons j'en ai le cÅ“ur net, des nouvelles générations éclairées qui redoreront le blason pour un Mao prospère, épanoui et digne de ce nom. Adoum Ali Adoum/ABBA PRESSE 0023162873349Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Paroles de Mon coeur te dit je t'aimeInterprétées par Dan Et LouLa maison a l'air plus grande surtout la chambre Où ne reste que toi et ton parfum Je découvre en ton absence un vide immense En voyant s'ouvrir les roses du jardin Je vis près du téléphone mais quand il sonne C'est jamais le coup de fil que j'espérais Tu m'oublies et moi je chante même si je chante C'est seulement pour me retenir de pleurer Refrain ====== Mon coeur te dit je t'aime Il ne sait dire que ça Je ne veux pas te perdre J'ai trop besoin de toi Mon coeur te dit je t'aime Il est perdu sans toi Mon coeur te crie je t'aime A chaque fois qu'il bat C'est surtout lorsque je rentre que tu me manques Il faut dire que chaque soir tu m'attendais Et malgré ma solitude par habitude Hier encore je t'ai fait chauffer du café Je dois perdre un peu la tête dans ma défaite Je t'invente et je ne sais plus où j'en suis A nouveau tes yeux m'éclairent j'ai ta lumière En couleur sur des photos tu me souris refrain Mon coeur te dit je t'aime La la la .... etc... Mon coeur te dit je t'aime Il est perdu sans toi Mon coeur te crie je t'aime A chaque fois qu'il bat Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Marc Lavoine Album Les Amours du dimanche Traductions finnois français français Je n′ai plus rien à te donner ✕ Tout s′arrête un jour Le soleil dans les yeux On croit plus à l'amour Et l′on se sent si vieux Les tremblements de coeur Les frissons sur la peau Juste après la douceur On se tourne le dos Tout s'arrête un jour À garder les blessures On appelle au secours On se dit des mots dursJe n'ai plus rien à te donner Que ma tendresse et mon passé Les caresses, les promesses, les baisers Tu sais, c′est terminé Je n′ai plus rien à te donner Que mon espoir et mes pensées Les miroirs des mémoires déformées En nous se sont cassésJe n'ai plus rien à te donnerTout s′arrête un jour Envahi par le vide On attend le retour Comme un enfant livide Les après-midi Les statues des jardinsSe meurent avec l'ennui Dans le creux de nos reinsJe n′ai plus rien à te donner Que ma tendresse et mon passé Les caresses, les promesses, les baisers Tu sais, c'est terminé Je n′ai plus rien à te donner Que mon espoir et mes penséesLes miroirs des mémoires déformées En nous se sont cassés Je n'ai plus rien à te donnerTout s'arrête un jour On s′endort sous la pluie On s′en va pour toujours On est déjà parti ✕ Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de Je n′ai plus rien à ... » Music Tales Read about music throughout history

parole mon coeur te dit je t aime