AoĂ»t23 2022. AttractivitĂ© Culture et Patrimoine. Institution charitoise aux allures de grande famille heureuse, le festival Blues en Loire a fĂȘtĂ© ses 20 ans, du 15 au 20 aoĂ»t, en semant les concerts dans la ville et alentour. Plus de 5 000 spectateurs ont vibrĂ© au charme enivrant d’une musique qui, Ă  l’instar du fleuve aux humeurs Voyagesans retour (titre original: Till We Meet Again), aussi connu sous le titre Ce n'est qu'un au revoir, est un film amĂ©ricain de Frank Borzage, sorti en 1944. Nouveau!!: Ce n'est qu'un au revoir et Voyage sans retour (film, 1944) · Voir plus » 1944 au cinĂ©ma. Pas de description. Nouveau!!: Ce n'est qu'un au revoir et 1944 au cinĂ©ma Maisce n'est pas un mystĂšre que les maĂźtres de l'harmonica donnent vie Ă  la musique comme aucun autre. De la mĂ©lancolie mĂ©lancolique au rire joyeux, il amĂšne l'Ă©motion humaine Ă  la surface de la musique. À ceux qui nous bĂ©nissent de leurs talents musicaux, je leur en suis toujours reconnaissant. À ceux qui nous poussent Ă  percer les mystĂšres en nous, je salue leur Cen’est qu’un au revoir (Auld Lang Syne) Harmonica Tab Print Songwriter (s): No Information : Genre: General Key: Any Harp Type: Diatonic Skill: Any Buy This Song on Amazon Ce n’est qu’un au revoir (Auld Lang Syne) Harmonica Tab 4 -5 Cen'est qu'un au revoir par Marie-ThĂ©rĂšse aux Ă©ditions Elor. Cet Ă©pisode est douloureux parce que c'est en l'Ă©crivant que Marie-ThĂ©rĂšse va nous quitter pour toujours. Elle venait de terminer le quarante neuviĂšme Cahier, l Lesharmoniques se dĂ©clinent en diffĂ©rents styles, y compris diatonique et chromatique. Dans cette revue, nous nous concentrerons sur la maniĂšre de choisir le meilleur harmonica chromatique, qui est plus polyvalent et plus complexe. Nous disons complexe parce que les harmonicas chromatiques sont plus difficiles Ă  jouer que les diatoniques. . AndrĂ© CHARLES Harmo noir Messages 3879 Inscription 03 fĂ©vr. 2014 2141 Re AULD LANG SYNE ce n'est qu'un au revoir Message par AndrĂ© CHARLES » 11 oct. 2017 1839 De ce morceau, je ne connaissais que le cĂŽtĂ© nostalgique, voire mĂȘme plutĂŽt triste. C'est ce que j'ai tout d'abord ressenti dans la premiĂšre partie de ta prestation. Tu nous fais passer ensuite sans transition de la mĂ©lancolie Ă  la joie, et cela me convient parfaitement ! Au diable les idĂ©es noires ! C'est bien jouĂ©. AndrĂ© DerniĂšre modification par AndrĂ© CHARLES le 11 oct. 2017 2004, modifiĂ© 2 fois. dany89 Harmo noir Messages 6422 Inscription 15 juin 2019 1807 Localisation AVALLON 89 Re AULD LANG SYNE ce n'est qu'un au revoir Message par dany89 » 11 oct. 2017 1904 VoilĂ  un air que tout le monde chante Ă  la fin des grandes rĂ©unions familiales et/ou amicales, mais je ne savais pas qu'il Ă©tait d'origine irlandaise... je me coucherai plus savante ce soir ! On aimerait le chanter aux gens qui nous quittent dĂ©finitivement, avec l'espoir de les revoir un jour, qui sait, dans une autre vie ???... Merci pour le rappel de tant de bons moments vĂ©cus dans la joie ! Dany Bonne Ă©coute et Ă  bientĂŽt, Dany. BenoĂźt Re AULD LANG SYNE ce n'est qu'un au revoir Message par BenoĂźt » 12 oct. 2017 1832 Michel, tout cela Ă©voque le bivouac, le feu de camp, les adieux Ă©mouvants et puis, tu nous entraĂźnes dans une folle farandole pour nous faire oublier toute la tristesse du moment. Heureusement que tu parviens toujours Ă  jouer dans l'obscuritĂ© de la nuit et, ma foi, toujours trĂšs bien, on vient d’en avoir encore la preuve ! Bravo ! BenoĂźt. BenoĂźt Re AULD LANG SYNE ce n'est qu'un au revoir Message par BenoĂźt » 12 oct. 2017 2259 Pour les tonalitĂ©s, c'est clair et net - premiĂšre partie lente on est en RĂ© Majeur - partie plus rapide toujours en RĂ© Majeur au dĂ©but - puis on monte d'un demi-ton et on se retrouve donc en Mi bĂ©mol Majeur. A bientĂŽt ! BenoĂźt. majoki Harmo noir Messages 1023 Inscription 05 janv. 2017 0758 Localisation Valais Suisse Re AULD LANG SYNE ce n'est qu'un au revoir Message par majoki » 13 oct. 2017 0821 Bravo Michel ! En plus tu me ramĂšnes Ă  mon enfance. J'ai Ă©tĂ© placĂ©e en pension Ă  l'Ăąge de 8 ans pendant 3 ans dans le sud de la France Ă  quasi mille km de ma famille que je n'ai pas vu pendant tout ce temps. Tous les deux mois des enfants arrivaient et d'autres rentraient chez eux. Chaque fois je pleurais alors que l'on chantait cette chanson, j’étais triste Ă  mourir car ce voyage n'Ă©tait pas encore pour moi. Puis au bout de 3 ans enfin, j'allais retrouver mon foyer. J'ai pleurĂ© aussi mais j'ai chantĂ© cette chanson remplie de joie. Tout Ă  fait comme tu l'as joue ..... Merci! J'observe, je cherche, je me trompe et puis j'apprends... dany89 Harmo noir Messages 6422 Inscription 15 juin 2019 1807 Localisation AVALLON 89 Re AULD LANG SYNE ce n'est qu'un au revoir Message par dany89 » 15 oct. 2017 1342 Merci pour la prĂ©cision, j'avais confondu l'Irlande et l'Ecosse... c'est peut-ĂȘtre parce que je n'aime pas le whisky ??? Dany Bonne Ă©coute et Ă  bientĂŽt, Dany. Qu’est ce qu’un harmonica? OĂč en trouver un? Si vous vous posez ces questions, vous devez alors vous rendre absolument sur le portail consacrĂ© Ă  l’harmonica. Outre le fait que vous pourrez trouver toutes les informations utiles, vous aurez accĂšs Ă©galement Ă  tout l’historique de cet instrument de l’auteur du blog vous invite Ă  la dĂ©couverte du dernier morceau de Daft Punk revu et corrigĂ© pour ĂȘtre entiĂšrement jouĂ© Ă  l’harmonica. Vous ĂȘtes plus sensible au blues? DĂ©couvrez un article complet sur l’harmoniciste Aleck Rice » Miller alias Sonny Boy Williamson II. Si l’harmonica vous passionne ou si vous souhaitez en savoir plus, pensez alors Ă  mettre ce site dans vos favoris Instrument rare au sonoritĂ©s cristallines, interdit au XIXe siĂšcle pour avoir rendu "fous" des gĂ©nĂ©rations de musiciens, l'armonica de verre connaĂźt une nouvelle jeunesse sous les doigts d'une poignĂ©e de passionnĂ©s, et sĂ©duit les gĂ©ants du rock et de la musique conservatoire n'enseigne encore cet instrument Ă©tonnant, perfectionnĂ© au 18e siĂšcle par l'inventeur et "pĂšre fondateur des Etats-Unis" Benjamin Franklin. Et seule une poignĂ©e de professionnels s'y adonnent dans le monde, parmi lesquelles le Français Thomas Bloch."Nous sommes cinq ou six Ă  en jouer, uniquement par goĂ»t personnel. C'est une toute petite communautĂ©", dĂ©clare Ă  l'AFP l'instrumentiste, invitĂ© par l'OpĂ©ra de Los Angeles pour tenir la partie d'armonica de verre dans l'opĂ©ra de Donizetti "Lucia di Lamermoor" six reprĂ©sentations jusqu'au 6 avril.L'orthographe de l'harmonica de verre – sans "h" – a Ă©tĂ© fixĂ©e par Benjamin Franklin lui-mĂȘme, sur la base de l'italien "armonia" harmonie, qui renvoie Ă  la richesse des harmoniques de l'instrument, explique Thomas Bloch. Une confusion – encouragĂ©e par le terme anglo-saxon de "glassharmonica" – s'est opĂ©rĂ©e ultĂ©rieurement avec l'harmonica, instrument Ă  vent de la famille de l'accordĂ©on, qui a Ă©tĂ© inventĂ© au XIXe siĂšcle et n'a rien Ă  voir avec l'armonica. Le "glassharmonica" est la version sophistiquĂ©e d'un "instrument" que tout le monde connaĂźt le verre rempli d'eau. Qui n'a jamais sorti un son d'une coupe, en la faisant tinter avec un couteau ou en y glisser un doigt mouillĂ© ?C'est en voyant des musiciens londoniens jouer avec des dizaines de verres - accordĂ©s en variant les quantitĂ©s d'eau - que Benjamin Franklin a dĂ©cidĂ© de perfectionner le systĂšme pour crĂ©er un instrument plus fiable et facilement transportable."Il a alors demandĂ© Ă  un souffleur de verre de crĂ©er 37 bols de tailles diffĂ©rentes, accordĂ©s chromatiquement sur trois octaves", explique Thomas bols, emboĂźtĂ©s les uns dans les autres sans se toucher, sont fixĂ©s sur un axe rotatif, dont la vitesse est commandĂ©e par une pĂ©dale. Le joueur produit le son en y glissant ses doigts, mouillĂ©s avec un mĂ©lange d'eau et de craie. L'ensemble a un aspect de "machine Ă  coudre et de kebab translucide", ironise le sa crĂ©ation, l'instrument bĂ©nĂ©ficie d'une grande notoriĂ©tĂ© et la reine Marie-Antoinette elle-mĂȘme en jouera. "On pense qu'il y a eu environ armonicas fabriquĂ©s entre 1761 et 1835. Il Ă©tait surtout jouĂ© dans les salons", prĂ©cise le dĂ©couvrit l'instrument chez le cĂ©lĂšbre docteur Franz-Anton Mesmer - qui s'en servait pour relaxer ses patients - et l'aimait tellement qu'il l'utilisera dans sa derniĂšre oeuvre de musique de chambre. Beethoven, Carl Philipp Emmanuel Bach, Saint-SaĂ«ns, et plus tard Richard Strauss, composeront aussi pour l'armonica de verre, surnommĂ© "l'orgue des anges" par Fabrication relancĂ©e en 1982 -Mais l'engouement pour l'instrument s'accompagne aussi de polĂ©miques. On accuse ses sonoritĂ©s sĂ©raphiques de provoquer des accouchements prĂ©maturĂ©s, de faire hurler les animaux, de terrasser "l'homme le plus robuste en moins d'une heure" - dixit un dictionnaire mĂ©dical en 1804 - et surtout, de faire sombrer ses interprĂštes dans la folie."On a d'abord pensĂ© que c'Ă©tait dĂ» Ă  la richesse des harmoniques. Mais le vrai problĂšme, c'Ă©tait le plomb", explique Thomas Bloch. Au XVIIIe siĂšcle, les armonicas Ă©taient en cristal, composĂ© Ă  24% de plomb. Et la peinture noire recouvrant certains bols - pour reproduire les touches noirs du piano - Ă©tait elle aussi saturĂ©e de ce mĂ©tal."Toucher ces instruments tous les jours pendant 15 ou 20 ans pouvait vraiment constituer un problĂšme, notamment en termes de saturnisme", 1835, la police allemande finit par interdire l'armonica de verre, qui tombe dans l'oubli. Jusqu'Ă  ce qu'un maĂźtre verrier d'origine allemande installĂ© prĂšs de Boston, Gerhard Finkenbeiner, dĂ©cide d'en relancer la fabrication en atelier, toujours en activitĂ©, reste le seul au monde Ă  fabriquer l'instrument, qui coĂ»te environ euros. La renaissance de l'instrument s'est accompagnĂ©e de la rĂ©surrection de son rĂ©pertoire - 400 oeuvres environ - notamment "Lucia di Lamermoor", dont la partie d'armonica avait Ă©tĂ© remplacĂ©e par des flĂ»tes. C'est Thomas Block qui assurera la "recrĂ©ation" de l'opĂ©ra dans sa version originale dans les annĂ©es 80. Mais la sonoritĂ© fascine aussi les musiciens contemporains de Björk Ă  Arthur H, en passant par John Cage ou la musique du film "Vol au-dessus d'un nid de coucou"."Il est Ă©vident qu'un enseignement en bonne et due forme pourrait permettre de mieux faire connaĂźtre l'instrument", observe Thomas Bloch. Mais le musicien a dĂ©jĂ  un beau tableau de chasse. Il a aussi collobarĂ© avec le groupe Radiohead, Tom Waits, et la crĂšme de la musique Ă©lectro Gorillaz et Daft Punk. LOST HIGHWAY 2021 MILTEAU / CARLTON MOODY / MANU GALVIN / JEAN-YVES LOZAC'H / GILLES MICHEL / CHRISTOPHE DESCHAMPS I’m a rollin’ stone all alone and lost 
 »* Est-ce la musique qui fait les rencontres ou bien l’inverse ? Évoquer l’ombre de Hank Williams nous a rassemblĂ©s pour un dĂ©tour par ce Lost enregistrement tout serein qu’il fut, est la poursuite d’un rĂȘve agitĂ©. Le rĂȘve d’un siĂšcle de musiques jazz, rock, soul 
 et d’autres moins populaires mais tout aussi passionnantes blues, folk, country, qui font le bonheur des curieux d’humanitĂ©, des chercheurs d’histoires singuliĂšres, des regardeurs d’horizon 
 Adolescent, l’harmonica fĂ»t ma ligne directe avec l’AmĂ©rique, celle de tous les malentendus et de tous les possibles. À travers la musique, j’y ai dĂ©couvert un monde d’injustices et de violence, de passion et de cultures multiformes. Mais surtout un monde de musique vivante tel que nous en avions perdu l’usage. Se rĂ©unir et jouer, juste pour dompter la solitude, avant de reprendre une route qui ne s’arrĂȘte qu’avec l’ Milteau *Lost Highway est une chanson de Leon Payne popularisĂ©e par Hank Williams en 1949 English Version They say music facilitates encounters, but it might be the other way around
This collective project entitled Lost Highway is a nod to the overpowering shadow of Hank they’ve come to life in a serene atmosphere, these recordings are the extension of a troubled dream. The musical dream of a golden century that encompasses jazz, rock and soul, as well as less popular, though just as thrilling idioms blues, folk and country sounds. Styles that meet the needs of lovers of singular narratives and open a teenager, the harmonica was my initial connection to America, a land of confusion where nothing is impossible. American music told me of a world of violence and inequity, of passion and cultural diversity. Above all, American music was endowed with a spirit and energy that had gotten lost over here. Getting together and playing, for the sake of taming solitude before hitting the road until oblivion sets in
JJ Milteau Lost Highway” is a Leon Payne song made famous by Hank Williams in 1949 Presse Milteau relance les chansons de Carlton Moody avec un cƓur immense autant qu’impeccable mise en place, groove, Ă©nergie. » LE MONDE Une immersion dans une country music dĂ©pouillĂ©e, profonde et authentique. »AFP JJ Milteau et son harmonica donnent une fois encore l’occasion de savourer combien au-delĂ  d’un langage parfaitement assimilĂ©, ils savent renouveler et rendre incroyablement vivante l’esthĂ©tique du blues, de son ambiance, de ses traditions et de ses fulgurances »CLASSICA MĂ©lodieux
 enlevé  enjouĂ© »JAZZ MANIA Jean-Jacques Milteau rend hommage Ă  ces gueules noires en bleu de travail qui illuminent l’asphalte amĂ©ricain »JAZZ NEWS 10 somptueuses interprĂ©tations de splendides titres de Country Music
 Les reprises sont superbes, l’interprĂ©tation magnifique et le chant impeccable.» PARIS-MOVE MĂ©lange de classe et de spontanĂ©itĂ©, on ne pourra que se rĂ©galer Ă  l’écoute de ce Lost Highway » aux couleurs Country et Americana. »ZICAZIC L’occasion pour JJ Milteau de confirmer une fascination toujours intacte pour les musiques du sud des Etats-Unis »TSF JAZZ JJ Milteau n’est pas qu’un grand virtuose de l’harmonica, il est aussi crĂ©atif avec une sensibilitĂ© Ă  fleur de peau, ce qui en fait un grand musicien. Ajoutez la voix de Carlton Moody et il n’en faut pas moins pour faire un superbe disque. »BLUES MAGAZINE L’harmonica de Jean-Jacques, superbe de bout en bout »SOUL BAG Une belle invitation Ă  prendre la route »LE QUOTIDIEN DU MÉDECIN AprĂšs avoir fait voyager ses harmonicas dans toute la musique amĂ©ricaine de ces derniĂšres cents annĂ©es, JJ Milteau revient aux racines et nous emmĂšne sur les highways Ă©tasuniens. Il s’entoure d’une belle bande de musiciens, pour que commence l’escapade. » 
un pur bonheur »L’ALSACE Ça swingue et soule, ça bluese et ça bouge, c’est chaud et c’est costaud, c’est du Milteau ! » 10 titres rutilants ! »Paris Jazz Club Au croisement du country, du blues, du folk et du bluegrass
 une musique trĂšs expressive et peu bavarde. La Classe »BATTEUR MAGAZINE CROSSBORDER BLUES 2018 HARRISSON KENNEDY / MILTEAU / VINCENT SEGAL Quand trois des plus grands artistes de blues de la scĂšne internationale actuelle s’unissent pour crĂ©er une sĂ©rie d’explorations originales et jubilatoires en s’appuyant sur l’univers acoustique, cela promet un rĂ©sultat Ă  couper le souffle ! Respectueux du passĂ© sans jamais sombrer dans la nostalgie, soucieux de tradition tout en abordant des thĂšmes actuels, curieux des mariages sonores inĂ©dits, ces trois bluesmen possĂšdent une formidable capacitĂ© d’invention et d’innovation que l’on nomme

 la la voix d’Harrison Kennedy, les harmonicas imaginatifs de Jean-Jacques Milteau et le violoncelle lyrique de Vincent Segal rĂ©unis ici pour la premiĂšre fois, ce sera l’occasion pour ce trio de magnifier l’universalitĂ© vĂ©hiculĂ© par le blues. Lire la suite... N’en dĂ©plaise Ă  Donald Trump, aux empereurs chinois voire Ă  Edouard Maginot, une frontiĂšre n’est pas un mur, bien au contraire. Son apprĂ©ciation varie certes en fonction des Ă©poques et du cĂŽtĂ© d’oĂč on la regarde espoir ou crainte, protection ou perspective, la frontiĂšre est juste indispensable Ă  l’imaginaire de l’ĂȘtre humain depuis la nuit des qu’il en soit, une frontiĂšre dĂ©limite un territoire et la question du territoire va se poser de maniĂšre de plus en plus complexe face Ă  la dĂ©matĂ©rialisation de la vie pourtant, quelle que soit sa forme, le territoire est indissociable de l’humain. Il aura toujours besoin de s’asseoir quelque part et de regarder l’horizon, par delĂ  la frontiĂšre. » Milteau English Version Music knows no borders!! It is life’s gift to humanity, indeed it’s a grateful pleasure to feel and share music’s spirit with this release!»Harrison Kennedy Donald Trump, the emperors of China, or even Édouard Maginot might not agree, but borders are not walls. They’re anything but, in fact. Borders have served various purposes at different times and in different places a synonym of hope for some and fear for others, a symbol of protection or a representation of expanded horizons, borders is an integral part of human imagination since times their function, borders bound territories, and territories will soon become a complex issue with the ever-growing dematerialization of the social under one form or another, territories are undistinguishable from humans. Man will always need a place to sit in order to watch the horizon, on the other side of the border. »Jean-Jacques Milteau Music is what protects me from so many things, it is my magic house, much like the houses of sculptor Étienne-Martin. Whenever I listen or play, I feel good, just like when I sleep, all my doors are open. This house is made of water and steam. With JJ and Harrison, everything is open the ears, but also the skin, feet, lungs, the whole body
 You think of nothing, only of the borders children create as they play, you are free to twist, cut, jump over space, even swallow it like a piece of candy. »Vincent Segal Looking back on my work as a producer over the past twenty-five years, I realize there are those I’ve taken great pleasure to be with in the studio, and those with whom I’ve always dreamed of sharing artistic Milteau and Harrison Kennedy belong in the first category. Our collaborations have shown me that their humane ways are a modest disguise for the powerful poetic sense that reveals their true experience with Vincent Segal is of a different sort. Vincent is well-known for his multi-faceted career, but his love of the blues is not as largely documented. Initiated to the emotional power of the genre by his father at an early age, Vincent burned up the blues circuit with his brother, from the Grande Parade du Jazz in Nice to the annual appearance of the Chicago Blues Festival caravan in their hometown, I mentioned the possibility of a blues project, Vincent would seem reluctant, invariably telling me, rightfully so, that he was not a idea behind this trio resulted from that observation. I’ve always felt it was possible for non African-American artists to tread the blues path with sincerity as long as they considered their musical journey not as blues per se, but as a conversation with the blues. CrossBorder Blues, built on the most stable of musical forms, the triangle, is the outcome of the fruitful encounter of three individuals, three generations, three present album is the fruit of this creolization process, an expression of the virtuous interbreeding long advocated by writer Édouard Glissant when he claimed that one could enrich one’s experience with the culture of others without losing oneself. You will find here original compositions as well as personal renderings of established standards, but every single one of these songs is preoccupied with the very raison d’ĂȘtre of the blues the cathartic need to tell about the flaws and turpitudes of the world, in order to overcome this album, Harrison’s voice, JJ’s breath and Vincent’s vibrations compose a painting that defies all styles, genres et traditions. I found a name for this timeless and limitless music, only bound by the wishes and needs of its creators CrossBorder Blues. »Sebastian Danchin Presse Douze titres magistraux de complicitĂ©, de crĂ©ativitĂ©, d’émotion »LibĂ©ration Une musique qui chante la fureur et la sueur, la douleur et l’aspiration au bonheur »L’HumanitĂ© Un harmonica vibrant, un violoncelle ici palpitant, lĂ  poignant et partout des cordes sensibles, qu’elles soient vocales ou instrumentales »Midi-Libre Le plaisir est palpable
un magnifique mariage musical
 »L’express Une collaboration bluffante, pour faire vivre la musique du diable »TĂ©lĂ©rama Avec de tels musiciens, tout vaut d’ĂȘtre tenté  »Jazz Un blues intimiste qui ne manque ni de fulgurances, ni de coups de blues et de colĂšre »Soul Bag Une atmosphĂšre originale, un mariage sonore inĂ©dit Ă  travers la musique du Diable, dans un univers acoustique et intime »Blues magazine Un opus alliant tradition et modernitĂ©, invention et innovation
 » Le quotidien du mĂ©decin Un climat envoutant
invention
 Lyrisme
 poĂ©sie
Un coup de cƓur » ABS Magazine Innovateur, magique, surprenant »Arcadia negra Intonations profondes et libertĂ© de phrasĂ© de Kennedy
 maestria et feeling de Segal
 lignes en contrepoints de Milteau qui magnifient le chant
 authentique et Ă©mouvant »Jazz Ă  Babord Âme et talent
dans une parfaite harmonie »Le cri du coyote La voix chaude et la guitare charmeuse d’Harrison, le souffle de Jean-Jacques Milteau et les frottements de Vincent Segal magnifient le tout
 »Zic Ă  zic Un projet qui rappelle d’universalitĂ© du blues, dans une forme acoustique dĂ©libĂ©rĂ©ment apurĂ©e »Son du monde MIGRATION BLUES 2017 ERIC BIBB avec MICHAEL JEROME BROWNE & MILTEAU AprĂšs le succĂšs de Lead Belly’s Gold, Eric Bibb et s’associent au multi instrumentiste canadien Michael Jerome Browne pour produire Migration Blues. L’album, sobre mais dense, traite des dĂ©placements forcĂ©s depuis l’exil des noirs amĂ©ricains jusqu’aux rĂ©fugiĂ©s qui pĂ©rissent en mer de nos jours. Les critiques sont dithyrambiques 
 Nous avons reçu le blues en hĂ©ritage. Ça ne signifie pas qu’il faut le musĂ©ifier. La plupart des grands bluesmen furent des innovateurs en leur temps. Beaucoup Ă©taient des migrants. Émigrer signifie prendre son futur Ă  bras le corps. C’est une des leçons du blues, transcender le fatalisme et rendre le pessimisme positif »JJ Milteau English version 
 Milteau is a unique harp player. He doesn’t stick to what you might expect a blues player to do, but instead finds original and interesting ways to accompany Bibb. He doesn’t draw attention to himself, which makes him indispensable. His ability to serve the song, to know when to come in and when to bow out, is the sign of a seasoned pro with an innate sense of what is needed. »THE FLAME STILL BURNS Eric Bibb is on a roll
 and Migration Blues may be his masterpiece
 Minimalist harmonica player, JJ Milteau
 prefers tastefully understated, languid nuances
 This album is as close to perfect as it gets, starting with CD sleeve’s su- perb design
 Anyone who knows Eric Bibb’s recent work, especially with Browne and Milteau, knows that this ensemble is musically refined and elegant. Bibb on his own is remarkable
 Milteau adds light dabs of color accentuation here and there, just where needed. Musically things are quintessential. Every note counts. »LIVING BLUES“Despite the seriousness of the topics, Bibb’s voice and music make it all very listenable. Milteau’s Harmonica is an important component to the sound on many of the songs as it provides a nice counterpoint to Bibb’s guitar work.”CASHBOX MUSIC REVIEWS Mr. Bibb’s current offering is primarily a trio affair, ably assisted by guitarist Michael Jerome Browne and harmonica player JJ Milteau. The threesome’s chemistry generates a constant incandescence, adding just the proper amount of heat underneath Bibb’s tales of folks on the move. »ROOTS MUSIC REPORT Bibb’s warm voice and his guitar is exclusively backed for most of the record by only Michael Jerome Browne guitars, banjos, mandolin and the harmonica talents of JJ Milteau, who recently made a live record with Bibb. As Milteau and Browne also pitched in on the production and songwriting, it’s virtually a full-blown collaboration among the three. »SOMETHING ELSE Michael Jerome Browne and JJ Milteau bring their considerable talents to the fore and provide layers of emotion to the compositions with intuitive and subtle turns. Together they buoy and challenge Bibb in his effort to tackle a complex issue in song. While this album is birthed out of Bibb’s singular vision, it is also one of his most collaborative works to date. Three of the fifteen tracks find Bibb sharing writing credits with Browne and Milteau. There are covers of two songs by Browne, and one track, a delightfully giddy Cajun number, written by Browne and Milteau. The liner notes give producer credits to all three men. Sitting in the lounge of the General Lewis Inn after his recent West Virginia gig, Bibb expressed his excitement for this project. “I’ve recorded with JJ before, but I’ve never done a whole album with Michael, and I was glad we got to do this. It was time.” 
 The Cajun number, “La Vie C’est Comme un Oignon,” is penned by Milteau and Browne. Browne, an American who has lived most of his life in Canada, and Milteau, who is French, celebrate the cultural gifts that the Acadians brought to America and the world. Expelled from Nova Scotia by the British in the mid-1700s, many migrated to Louisiana, enriching their new homeland in the process. This exuberant tune shows the resolve of a people and way of life in the midst of forced change. The Band classic, “Acadian Driftwood” speaks of the same event. All I know is Browne and Milteau seem to be having a hell of a good time 
 »THE FLAME STILL BURNS Presse A propos de Migration Blues »  »Le binĂŽme Bibb et Milteau signe un nouvel album virtuose, lyrique, profond, gĂ©nĂ©reux. De fait, l’orphelin syrien, l’ancien esclave noir amĂ©ricain de Clarksdale, et le Bluesman lambda aspireraient au mĂȘme aboutissement la libertĂ©. »LIBÉRATION Ça va jazzer » La sobriĂ©tĂ© chantante de la voix d’Eric ne gĂąte rien. Mais ses deux compĂšres ont aussi leur part de responsabilitĂ© Jerome Brown fait ici sonner un banjo, lĂ  un violon, lĂ  une deuxiĂšme guitare sans jamais faire le malin ; et notre Jean-Jacques Milteau national confirme, avec la dĂ©licatesse virtuose dont il est capable, qu’un harmonica bien employĂ© peut sourire et pleurer en mĂȘme temps. »LE NOUVEL OBSERVATEUR Eric et ses partenaires livrent un album minutieux, dĂ©licat et mĂ©lodique, entre folk, blues et country. Mettant l’émotion en avant, les musiciens jouent sur la retenue, Ă  l’image de l’harmoniciste JJ Milteau, discret, jamais envahissant mais aux interventions toujours justes. » LOST IN ANALOG 2016 Luc, Christophe, Manu, Gilles et moi nous connaissons depuis trente ans. Christophe, qui est un cuisinier accompli, nous a conviĂ© Ă  dĂźner et nous en avons profitĂ© pour enregistrer chez lui quelques titres que nous aimons. Une seule prise, no overdubs, beaucoup de souvenirs
Nous avons choisi d’ĂȘtre musiciens pour partager une passion. Nous avons eu la chance de jouer dans le monde entier et nous accompagnons les artistes les plus populaires. Lorsque le numĂ©rique est arrivĂ©, nous l’avons adoptĂ© avec enthousiasme, parce qu’il nous permettait de nous affranchir des lourdeurs de la production traditionnelle. De mieux partager puis la finance s’en est mĂȘlĂ©e. Le travail des artistes a gĂ©nĂ©rĂ© des profits considĂ©rables pour des entitĂ©s qui n’avaient ni goĂ»t, ni considĂ©ration envers le lien intime qui existe entre nous et avec le public. On a dĂ©valorisĂ© notre travail comme on dĂ©valorise celui de tous ceux qui produisent et ne spĂ©culent nous luttons pour ne pas devenir Lost In Analog
Cet album n’est dupliquĂ© qu’à 250 le diffusez pas, partagez le !JJ Milteau LEAD BELLY'S GOLD 2015 ERIC BIBB / MILTEAU À travers cet hommage Ă  Lead Belly, l’harmoniciste prolifique Jean-Jacques Milteau et le chanteur de blues Eric Bibb ne se contentent pas de cĂ©lĂ©brer le formidable hĂ©ritage d’un gĂ©ant de la musique populaire. Tout en construisant un pont entre le Nouveau Monde et le Vieux Continent, ils entendent souligner l’universalitĂ© et l’intemporalitĂ© du message de Lead Belly. et Eric, en enrichissant le rĂ©pertoire de leur hĂ©ros d’une poignĂ©e de compositions personnelles, s’inscrivent dans la droite ligne de son action poĂ©tique et militante lorsqu’ils abordent des problĂšmes quotidiens avec une fraĂźcheur et une candeur de façade propices Ă  la diffusion d’un message de paix, d’espoir, de tolĂ©rance et de non-violence. Avec pour rĂ©sultat un album, marquĂ© par une entente musicale rare, qui restera l’un des plus originaux de leurs carriĂšres respectives. Lire la suite... LibertĂ©, DignitĂ©, FraternitĂ©La devise de la RĂ©publique Française, qu’il visita quelques mois avant sa mort, aurait pu ĂȘtre revendiquĂ©e ainsi par Lead Belly. Faute d’une illusoire Ă©galitĂ© entre un homme pauvre, noir et peu instruit et l’entourage qui va Ă©voluer autour de son talent au fil des annĂ©es, il luttera toute sa vie pour une reconnaissance de sa dignitĂ© en tant qu’ĂȘtre humain et surtout en tant qu’ libertĂ© fut certainement la premiĂšre aspiration du jeune Lead Belly promis au dur labeur et aux lourdes contraintes inhĂ©rentes Ă  sa condition au dĂ©but du XXeme siĂšcle dans le Sud des États Unis. Les rixes qui aboutirent au meurtre et qui le conduisirent en prison Ă  plusieurs reprises, avaient probablement pour origine une atteinte Ă  sa dignitĂ©. Enfin, son talent Ă©tait tel qu’il a gĂ©nĂ©rĂ© tout au long de sa vie une rĂ©elle fraternitĂ© autour de lui, depuis la protection de la famille Lomax jusqu’aux collaborations avec Pete Seeger et l’ensemble du mouvement libĂ©ral des annĂ©es 40 aux États Unis en passant par une vĂ©ritable empathie, rĂ©ciproque, avec les enfants, pour lesquels il adorait cette trilogie, la dignitĂ© ressort comme la prĂ©occupation constante de Lead Belly. Être considĂ©rĂ© comme un artiste avant tout, sans mettre en avant sa couleur de peau ou son passĂ© carcĂ©ral. Son rĂ©pertoire est celui d’un conteur soucieux certes, de distraire, mais aussi de tĂ©moigner. Les sentiments, la souffrance, la religion, la vie sociale, les faits divers 
 il semble qu’aucun domaine n’ait Ă©chappĂ© Ă  ses chroniques musicales. Comme le rĂ©vĂšlent quelques unes de ses prestations live enregistrĂ©es, il aimait commenter les chansons qu’il interprĂ©tait, Ă  la maniĂšre d’un c’est l’interprĂšte qui sĂ©duit avant tout par sa puissance et sa conviction. Difficile de rester insensible Ă  cette voix et cette guitare qui semblent venir de trĂšs loin tout en sonnant incroyablement familiĂšres. C’est l’apanage des grands artistes de devenir intemporels tout en tĂ©moignant de leur sur ce projet avec Eric a Ă©tĂ© un vrai bonheur. Chaque chanson s’est jouĂ©e naturellement et spontanĂ©ment. La plupart des titres sont interprĂ©tĂ©s live avec ou sans public pour conserver cette fraĂźcheur. Mille mercis Ă  Philippe Langlois pour cette proposition de collaboration et au plaisir de se retrouver sur Milteau & Eric Bibb, hommage Ă  Lead BellyLorsqu’il fut dĂ©couvert en 1933 dans la tristement cĂ©lĂšbre ferme pĂ©nitentiaire d’Angola, en Louisiane, Lead Belly ne se doutait pas que sa musique allait bouleverser le cours de son destin tout en faisant entrer dans l’Histoire les artisans de son succĂšs, les ethnomusicologues John et Alan Lomax. Ce jour-lĂ , Lead Belly n’aurait jamais pu imaginer que cette dĂ©couverte ferait de lui le chanteur folk afro-amĂ©ricain le plus cĂ©lĂšbre de tous les temps. Au passage, il aura converti Ă  la vĂ©ritĂ© du blues des millions de fans, bien au-delĂ  des frontiĂšres de sa propre communautĂ©, tandis que des successeurs aussi hĂ©tĂ©roclites que Frank Sinatra, Nirvana, les Beach Boys, les Red Hot Chili Peppers, Tom Waits ou Bob Dylan s’emparaient de son rĂ©pertoire. Lead Belly — Huddie Ledbetter pour l’état civil — doit ce rĂŽle hors du commun Ă  sa capacitĂ© innĂ©e d’ériger des passerelles entre les Ă©poques, les mondes et les cultures. NĂ© dans le Sud Profond Ă  la fin des annĂ©es 1880, il dessine un lien vivant entre l’abolition de l’esclavage et l’essor du systĂšme de mĂ©tayage inique qui aura continuĂ© d’asservir les Afro-AmĂ©ricains dans les plantations sudistes tout au long de la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle ; entre les faux espoirs nĂ©s de la dĂ©claration d’Émancipation et le dĂ©couragement engendrĂ© par la sĂ©grĂ©gation ; entre l’ùre des colporteurs de chansons et la montĂ©e en puissance des troubadours du blues, Ă  l’époque oĂč il effectuait son apprentissage comme musicien de rue. Au final, Lead Belly aura lancĂ© quasiment Ă  lui seul la vague folk du New York intellectuel de l’aprĂšs-guerre, avant d’initier l’Europe au blues et de dĂ©clencher le mouvement de revival qui permettra aux Beatles et autres Rolling Stones de jeter les bases du rock. On ne le sait pas assez, mais Lead Belly a Ă©tĂ© le tout premier musicien de blues rural Ă  se produire en Europe dĂšs 1949, peu avant sa mort Ă  l’ñge de 61 ans. À travers cet hommage Ă  Lead Belly, le chanteur de blues Eric Bibb et l’harmoniciste prolifique Jean-Jacques Milteau ne se contentent pas de cĂ©lĂ©brer le formidable hĂ©ritage d’un gĂ©ant de la musique populaire. Tout en construisant un pont entre le Nouveau Monde et le Vieux Continent, ils entendent souligner l’universalitĂ© et l’intemporalitĂ© du message de Lead Belly. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si cet album s’ouvre sur Grey Goose, une analyse poĂ©tique de l’ostracisme social qui conserve tout son sens aujourd’hui, Ă  l’heure oĂč les migrants venus d’Afrique et du Moyen-Orient traversent la MĂ©diterranĂ©e par milliers sur des radeaux de fortune. Il en est de mĂȘme d’un chant de prisonnier tel que Midnight Special, toujours aussi poignant Ă  une Ă©poque oĂč les Afro-AmĂ©ricains constituent 40% de la population carcĂ©rale des États-Unis alors qu’ils reprĂ©sentent moins de 13% de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine, ou encore de The Titanic dont les rĂ©fĂ©rences ouvertes au racisme conservent toute leur pertinence glaçante aprĂšs la tuerie de Charleston ou la bavure policiĂšre de Ferguson. Mais c’est peut-ĂȘtre The Bourgeois Blues qui reste la plus actuelle des compositions de Lead Belly. DĂ©nonciation virulente du systĂšme de caste qui rĂ©gissait les rapports entre Noirs et Blancs au sein de la capitale amĂ©ricaine lorsque le chanteur l’enregistrait en 1938, ce texte d’une modernitĂ© frappante apporte la preuve que la prĂ©sence d’un prĂ©sident noir Ă  la Maison-Blanche n’a pas suffi Ă  modifier les mentalitĂ©s dans un monde de discrimination toujours prompt Ă  opprimer les plus dĂ©munis et les sans voix. Eric et en enrichissant le rĂ©pertoire de leur hĂ©ros d’une poignĂ©e de compositions personnelles, s’inscrivent dans la droite ligne de son action poĂ©tique et militante lorsqu’ils abordent des problĂšmes quotidiens avec une fraĂźcheur et une candeur de façade propices Ă  la diffusion d’un message de paix, d’espoir, de tolĂ©rance et de non-violence. Avec pour rĂ©sultat un album, marquĂ© par une entente musicale rare, qui restera l’un des plus originaux de leurs carriĂšres Danchin English Version Liberty, Dignity, Fraternity
Lead Belly could have improved the slogan of France—a country he visited shortly before his death—in such a way. For lack of true equality between the poor, illiterate Black individual that he was and the fluctuating entourage drawn by his talent over the years, he fought his whole life for dignity as a human being and, even more so, as an artist. Liberty probably was young Huddie Ledbetter’s original aspiration, as he toiled in the segregated South of the turn of the 20th Century. No doubt, the murderous fights that led to his incarceration on several occasions were the result of his injured dignity. Endowed with an uncommon talent, he generated around his person a sense of fraternity that awarded him the protective help of the Lomaxes, avored artistic collaborations with Pete Seeger and other liberals in the 1940’s, aroused the empathy of the young audiences he loved to stands out in this humanistic trilogy as Lead Belly’s number one goal the dignity of being considered an artist first and foremost, regardless of the color of his skin or his judicial past. His repertoire reflects his gift as a storyteller and entertainer; it also reveals his need to testify. The depth of human feelings and sufferings, religion, social life, anecdotes
 it seems his musical chronicles encompassed all topics. As is clear when listening to his live recordings, Lead Belly was wont to comment the tunes he sang, much like a journalist. Yet his main claim to fame is linked to his personal power and conviction as an interpreter. No one is left unscathed by Lead Belly’s voice, by the sound of his guitar, both distant and familiar. Only great artists showcase such timelessness while chronicling their with Eric on this project has been a real treat. Each and every song came to us in a natural and spontaneous way. The majority of titles present on this album were recorded live, with or without an audience, in order to preserve this freshness. A thousand thanks to Philippe Langlois for providing the original idea and bringing us together, I’m looking forward to more stage performances around this Milteau Presse L’HUMANITÉ Sans artifice ni fard, Bibb et Milteau, en prodigieux orpailleurs, mettent au jour l’or de Lead Belly » »LE MONDE 
la joie de jouer et d’aller au plus profond sans le montrer
Un album prĂ©cieux »LE COURRIER DE L’OUEST Un opus solaire, vrai et sincĂšre oĂč l’amitiĂ© et la musique se rejoignent, pour ne garder que l’essentiel, le feeling Ă  l’état pur »SOUL BAG 
 les deux leaders Ă©voluent avec classe et grĂące 
 plein de trouvailles rythmiques et une joie de jouer Ă©vidente »GUITAR PART 
une orchestration dĂ©pouillĂ©e, respectueuse, profonde et envoĂ»tante »Les DNA 
une belle complicitĂ© de folk et de blues
 un remake attachant trĂšs soul et charnel »RFI l’ÉpopĂ©e des musiques noires » 
un saisissant tĂ©moignage de la force expressive d’une Ă©poque et d’un crĂ©ateur unique dont l’hĂ©ritage musical intemporel est enfin magnifiĂ© »CULTUREBOX Les deux hommes s’approprient les chansons de Lead Belly, dans un mĂ©lange de force et d’humilité Un album trĂšs rĂ©ussi, respectueux, humainement et musicalement »A NOUS PARIS 
une relecture gospellisante de Lead Belly »LYLO 
un voyage dans le temps pour dĂ©montrer l’universalitĂ© du message d’un rĂ©voltĂ© »RFI La bande passante » 
 un projet qui souligne l’universalitĂ© et l’intemporalitĂ© du Blues »AFP Un disque live d’une belle fraicheur » L’OR » D'APRÈS LE ROMAN DE BLAISE CENDRARS 2015 Enregistrement du spectacle Xavier Simonin, voixJJ Milteau, harmonica BLOWIN' IN THE PAST 2012 Le Chant du Monde a eu l’idĂ©e saugrenue de ressortir les enregistrements que j’avais commis pour eux entre 1973 et 1983 soit 4 LP quand mĂȘme ! Je ne me prononce pas sur la qualitĂ© musicale mais ça rappelle beaucoup de souvenirs plutĂŽt bons et de rencontres enrichissantes. Pour agrĂ©menter la proposition je me suis permis d’y joindre un CD de 27 harmonicistes qui ont bĂąti l’histoire de notre modeste et merveilleux instrument tout au long du XXe siĂšcle. Il y en a peut-ĂȘtre qui vous avaient Ă©chappĂ©s ? »JJ Milteau English version Le Chant du Monde decided to reissue the recordings I made for them between 1973 and 1983. 4 LPs ! I won’t comment the musical quality but it reminded me a lot of souvenirs, good ones and great encounters too. To make things more tasty I added one CD with 27 harp players who build the history of our modest and wonderful instrument all along the XX century. Maybe you missed some of them ?»JJ Milteau CONSIDERATION 2011 MANU GALVIN / MILTEAU / M. ROBINSON / R. SMYTH - "GMRS" “Keep that music simple
” Dr. John“La musique noire a Ă©tĂ© la plus grande claque culturelle des cent derniĂšres annĂ©es non seulement une nouvelle lecture des timbres, des rythmes et des harmonies mais plus largement une nouvelle maniĂšre de considĂ©rer l’expression et la relation Ă  l’autre. Toute relation constructive est fondĂ©e sur la considĂ©ration. Ce que rĂ©clamaient en d’autres termes Otis et surtout Aretha C’est gĂ©nĂ©ralement ce qui manque le plus dans une sociĂ©tĂ© qui ne va pas bien” Milteau
 Lire la suite... La Musique Rock n’ Roll sans attitude ?Michael Robinson est nĂ© Ă  Chicago, la citĂ© du Blues avant d’émigrer sur la cĂŽte ouest et de travailler pour Quincy Jones, Ron Smyth a chantĂ© Ă  l’église avec sa mĂšre avant sa pĂ©riode reggae, Manu Galvin a appris la guitare sur Brassens et les Beatles avant de dĂ©couvrir Muddy Waters et King, Jean-Jacques Milteau avait depuis longtemps envie de leur proposer un son le plus naturel possible. Quelques balances, backstage, emails, chambres d’hĂŽtel et beaucoup de bon temps plus tard voici Consideration », un sentiment qu’ils partagent et un album qui leur PALATA SINGERS, CARMEN MARIA VEGA, EMEL MATHLOUTHI English Version CONSIDERATION, ROCK N’ ROLL WITHOUT AN ATTITUDE“Black music triggered the most important cultural upheaval of the past hundred years. It’s provided us with a whole new grammar of sounds, rhythms and harmonies, as well as a different way of considering others. No human relationship can bear fruits unless it is based on consideration. Otis and Aretha didn’t tell us anything else when they asked for Lack of consideration is probably the greatest ill of our broken society.” MilteauMike was born in Chicago, the world capital of the blues, before flying off to California where he worked with Quincy Jones; Ron was brought up in the church where he used to sing with his mother, then moved on to reggae music, and Manu learned to play the guitar listening to French bard Georges Brassens and the hits of the Beatles before he heard Muddy Waters and decided to bring them together with a simple idea play naturally. A few sound checks, backstage rehearsals, emails and hotel rooms later, they came up with this Consideration, an album that reflects the musical and human ideals they have in said about Consideration » L’EXPRESS The French harmonica player, one the leading masters of his instrument in the blues world, has just released a new album, the superlative “Consideration.”TELERAMA This remarkable tribute to soul and blues is a bottomless well of feeling »BLUES MAGAZINE A perfectly balanced album that brings music to new heights. Truly superb! »JAZZ MAGAZINE The attention given to subtle atmospheres and rich vocal harmonies makes for a different kind of intimate soul-folk »LE MOUV’ With its superior vocals, this humble, transparent and meticulous set is a global album »JAZZ NEWS The blues has seldom sounded as palpable, with the added pleasure of music sharing and the artlessness of rolling good times »BCR La Revue A maelstrom of feeling that will make your head spin »TRAD MAGAZINE Cutting edge solos, mesmerizing riffs, old-time blues recreations, intelligent covers, finely crafted harmonies and a huge dose of feeling are the main ingredients of a great album »ZICAZIC JJ Milteau and his cohorts spare no effect, giving free reign to their natural talent. A rich melting pot of styles, sounds, and generosity »BASSISTE MAGAZINE The rootsiest of roots albums »LION’s Club Magazine This convincing exploration of the roots of jazz lives up to its title, offering the listener a solid dose of respect and honesty » Presse A propos de Consideration »L’EXPRESS » L’harmoniciste français, l’un des meilleurs au monde, sort un nouvel album de blues, le magnifique Consideration TELERAMA Un bel hommage Ă  la soul et au blues
 gorgĂ© de feeling »BLUES MAGAZINE Un exemple d’équilibre, oĂč la musique ressort magnifiquement grandie
 C’est superbe ! »JAZZ MAGAZINE 
l’attention apportĂ©e aux ambiances en demi-teintes et aux harmonies vocales, tirent l’album vers une sorte de soul-folk intimiste
 »LE MOUV’ HumilitĂ©, clartĂ©, prĂ©cision, voix sublimes
un album totalement international »JAZZ NEWS 
 le blues comme une Ă©vidence, la joie du partage et la spontanĂ©itĂ© des bons temps qui roulent
 »BCR La Revue Un dĂ©luge de feeling Ă  donner le vertige
 »TRAD MAGAZINE 
chorus saignant, riff hypnotique, vieux blues Ă  l’ancienne, reprises bien senties, harmonies vocales aux petits oignons et un gros feeling Ă©picent la galette »LA TERRASSE un hymne Ă  la simplicitĂ© et la vĂ©ritĂ© d’une musique essentielle
 le blues »ZICAZIC Milteau et consorts ne mĂ©nagent aucun effet de style et laissent le talent faire son Ɠuvre. Un florilĂšge d’une formidable richesse et d’une infinie gĂ©nĂ©rositĂ© »Journal du LION’s Club Un retour convainquant aux racines du jazz qui justifie son titre, tant il fait preuve de respect et de sincĂ©ritĂ© »ABS Magazine un album rĂ©ussi de bout en bout »BASSISTE MAGAZINE Un album trĂšs nature HARMONICAS 2010 40 TITRES AVEC LES TONALITÉS Tout musicien, Ă  une pĂ©riode de sa vie, ambitionne d’emmener son instrument sur des routes plus ou moins inĂ©dites. Avant de trouver le bonheur de faire dialoguer le petit instrument avec les voix de Soul Conversation, j’ai, moi aussi, explorĂ© quelques pistes instrumentales. Toutes sont issues d’impressions souvent fugaces, de rencontres, de lieux “Blue Hop” est nĂ© Ă  Marseille, “Yaoussa” Ă  la frontiĂšre nigĂ©riane, “Rue Doisneau” Ă  Avignon, “The Sailor and the Maid” dans un bar breton, “Jurong Bird Park” Ă  Singapour, “Bordighera” Ă  GĂȘnes, ou bien Livourne, “Soft Rain” Ă  MontrĂ©al, “Au Bellevue” Ă  Corbeil Essonne
 Lire la suite... Beaucoup d’hommes et de femmes, sans le savoir, ont guidĂ© mon souffle et particuliĂšrement les fantastiques musiciens que j’ai eu le bonheur de croiser Manu Galvin, Olivier Ker Ourio, Manu KatchĂ©, Didier Lockwood, Carole Fredericks, Jean-Yves D’Angelo 
 tous ceux qui ont contribuĂ© Ă  ces fil des dĂ©dicaces, de Hong Kong Ă  Sao Paulo, de Calcutta Ă  Osaka ou La Roche sur Yon, j’ai dĂ©couvert que ces albums avaient intĂ©ressĂ© plus de monde que je ne le pensais, bien qu’il fut pendant longtemps impossible de se les dĂ©die donc chaleureusement cette réédition Ă  tous les harmonicistes qui m’ont fait l’honneur et le plaisir de s’inspirer, entre autres, de mon Milteau English Version The harp is a musical pen 
I was a teenager by the time I became aware that the harmonica had the power to fight injustice and defend freedom. When I first heard Bob Dylan, Woody Guthrie or Sonny Terry, I realized that the expression of the inner self depended more on the depth of emotions than on the size of the instrument itself. Later on, I discovered Sonny Boy Williamson’s sensibility, Little Walter’s flamboyance, Stevie Wonder’s inventiveness
As far as I’m concerned, the harp is a musical pen, and a cheap one at that. Easy to carry, it will help you sketch out your feelings and impressions in your own inimitable way as you drive down the road of life, expressing and sharing with others emotions as varied and colorful as the pathways of Milteau SOUL CONVERSATION 2008 Milteau parle de son harmonica comme d’une clĂ© 
 Cette clĂ© » aura ouvert quelques portes Ă  l’ex-gamin de la zone, nĂ© au mitan du XXe siĂšcle aux confins de la Porte d’Italie. Un amour prĂ©coce pour le blues et les musiques noires, va le conduire Ă  inviter sur ses enregistrements quelques voix emblĂ©matiques du genre, Gil Scott Heron et Terry Callier, ainsi que Little Milton, N’Dambi ou Mighty Sam McClain. Il contribue Ă  faire apprĂ©cier en France le barde nu blues » Mighty Mo Rodgers et la charismatique Demi Evans. Il nous prĂ©sente ses deux nouveaux complices, Michael Robinson et Ron Smyth, dans une Soul Conversation Ă  plusieurs voix. Lire la suite J’ai toujours aimĂ© les voix. Dans le blues, l’harmonica est un vĂ©ritable interlocuteur du chanteur. Plus que pour briller, l’instrument est lĂ  pour dialoguer, illustrer, conforter, titiller, relayer, crĂ©er un dĂ©cor propice Ă  l’expression du chant. Une approche qui dispense de la virtuositĂ© et des Conversation est une relecture des premiĂšres musiques que j’ai Ă©coutĂ©es Blues, Soul, Rock, Folk 
 Elles chantaient l’espoir de lendemains meilleurs. Pour la premiĂšre fois, la jeunesse du monde entier utilisait un langage commun pour exprimer un dĂ©sir d’ouverture et de tolĂ©rance. On s’éloignait de la grande boucherie mondiale, on sortait de la colonisation et la sociĂ©tĂ© occidentale semblait assez riche pour venir en aide aux plus dĂ©munis, oĂč qu’ils se trouvent Have Pity On Those Whose Chances Grow Thinner , For There Is No Hiding Place Against The Kingdoms ThroneCurtis Mayfield People Get Ready ».Force est de constater qu’on a dĂ» rater un embranchement depuis, mais 
 The Darkest Hour Is Always Just Before The Dawn David Crosby Long Time Gone »Soul Conversation s’offre un petit balayage d’horizon, une sorte de recherche de cap 
 Is This The Way ? » Les questions m’ont toujours parues plus essentielles que les rĂ©ponses 
 » Milteau English Version “I’ve always loved voices, and in blues music, it is the role of the harmonica to converse with the singer. The harp isn’t supposed to stand out, it’s there to discuss, emphasize, comfort, tickle and translate, creating a musical setting fit for the singer to express himself. An approach that rules out any attempt at showing off. This Soul Conversation is a way for me to rephrase the various musical genres that first hit my imagination blues, soul, rock, folk
 Songs that wished for brighter tomorrows. It was the first time young people from various parts of the planet used the same language to express they craving for tolerance and broad-mindedness. Shying away from the slaughter of the war and the iniquity of colonization, the Western world seemed intent on solving the problems of those who lacked in everything, wherever they were. Have pity on those whose chances grow thinner For there’s no hiding place against the kingdom’s throne »Curtis Mayfield, “People Get Ready”One has to say, we must have lost our bearings somewhere along the way. The darkest hour is always just before dawn »David Crosby, “Long Time Gone”Soul Conversation is a modest survey, a step in the right direction. “Is This the Way ?” I’ve always thought questions were more essential than answers
” MilteauThey said about Soul conversation » LE FIGARO “Music in its purest form
 A funk soul gem highlighted by the presence of two superlative vocalists
 Simple and brilliant
”JAZZ MAGAZINE “
The charm of authentic soul music at its melodic and feverish best”LE MONDE “A rock-solid album traveling the blues and soul highway”L’EXPRESS “JJ Milteau is the unrivaled master of the harmonica”JAZZMAN “The ultimate blues recording”LE NOUVEL OBS “This album showcases fine revampings of blues, soul and rock standards”AVANTAGES “The leading French harmonica player gives us his very best on this blues-soul offering”A NOUS PARIS “Listening to this sensuous blues album, you can almost feel the humid air of the Delta caressing your skin”20 MINUTES “A great vintage that will only get better with each passing year”BLUES AGAIN “Brimming with talent and generosity, the latest recording of this ace player is another major milestone in a superlative career”PARISCOPE “This well-oiled Soul Conversation is a marvel of consistency and virtuosity”LA DÉPÊCHE DU MIDI “A true gem, first-rate recordings by mesmerizing artists anxious to share their art with others. A must”ABS MAGAZINE “This outstanding project is the result of exceptional teamwork and craftsmanship, placed under the unifying powers of JJ Milteau”MUSIC STORY “Today’s blues at its very best, perfectly served by the generosity of a truly inventive, lyrical player. Soul Conversation’ is the work of a well-matured artist” Presse A propos de Soul conversation »LE FIGARO 
une merveille de musique pure
 un bijou de soul funky avec deux vocalistes remarquables 
 Ă  la fois sobre et brillant »JAZZ MAGAZINE » 
Le charme d’une authentique soul music, mĂ©lodieuse et fiĂ©vreuse »LE MONDE Du solide qui tient la grande route de la soul et du blues »L’EXPRESS Milteau, grand maĂźtre de l’harmonica »JAZZMAN Un disque trĂšs abouti »LE NOUVEL OBS Quelques reprises dĂ©lectables de standards du rock, du blues ou de la soul »AVANTAGES Le plus cĂ©lĂšbre harmoniciste français nous offre un de ses meilleurs albums, parfait mĂ©lange de blues moderne et de soul »A NOUS PARIS On sent la moiteur du blues couler sur la peau
 pur et sensuel »20 MINUTES 
 Pas de doute, un grand cru, qui se bonifiera avec les annĂ©es »BLUES AGAIN PĂ©trie de talent et de gĂ©nĂ©rositĂ©, la derniĂšre Ɠuvre du virtuose ajoute une pierre Ă  un parcours exceptionnel »PARISCOPE Sur Soul Conversation, l’ensemble fonctionne au poil, rivalisant d’homogĂ©nĂ©itĂ© et de virtuositĂ© »LA DÉPÊCHE DU MIDI On tombe sous le charme d’un disque d’artistes authentiques, envoĂ»tants
 enregistrĂ© et servi pour le plaisir du partage. Un indispensable »ABS MAGAZINE il faut une vraie connivence entre les musiciens et l’indĂ©fectible envie de dĂ©fendre un projet commun pour un tel rĂ©sultat. L’esprit de partage rĂšgne ici en maĂźtre, Milteau jouant le lien, le passeur, si primordial en musique »MUSIC STORY 
 Un blues authentique et vivant, et un instrument inventif et lyrique
 Soul Conversation est l’album d’une maturitĂ© non affadie 
 » LIVE HOT N'BLUE 2007 Sur la route avec Jr BOY JONES, Felton CREWS & Demi EVANS À l’aube du nouveau millĂ©naire, Jean-Jacques Milteau cĂ©lĂ©brait son arrivĂ©e chez Universal Jazz avec le recueil Memphis », enregistrĂ© dans la capitale de la soul musique sudiste, et rĂ©compensĂ© depuis par une Victoire de la Musique. Cinq ans plus tard, l’harmoniciste dĂ©cidait de se lancer dans une aventure plus volontiers tournĂ©e vers le blues Ă©lectrique et parcourait la France Ă  la tĂȘte d’une formation aussi explosive que contrastĂ©e pour donner la rĂ©plique aux pivots de son orchestre habituel — le guitariste Manu Galvin, l’organiste BenoĂźt Sourisse et la chanteuse Demi Evans — faisait appel Ă  une rythmique noir-amĂ©ricaine plĂ©biscitĂ©e de longue date sur le circuit du blues aux États-Unis. ConstituĂ©e autour du bassiste Felton Crews un ancien de la bande Ă  Miles Davis qui a prouvĂ© son attachement au blues en travaillant avec Junior Wells et Otis Rush, l’orchestre de la tournĂ©e comprenait Ă©galement le batteur Mark Mack accompagnateur de James Cotton, ainsi que le guitariste et chanteur Andrew Junior Boy » Jones, un Texan qui a fait ses classes auprĂšs du grand Freddie King. Cette tournĂ©e, largement plĂ©biscitĂ©e par le public en 2005, trouve aujourd’hui un prolongement attendu grĂące Ă  ce Live Hot n Blue » qui traduit fidĂšlement les accents blues d’une rencontre fĂ©conde en rebondissements musicaux. English Version JJM On Tour with Junior Boy Jones, Felton Crews & Demi Milteau celebrated his arrival at Universal Jazz at the turn of the new millennium with his widely acclaimed Memphis album, recorded in the undisputed capital city of southern soul. Upon its release, this superlative set was awarded a Victoire de la Musique —the French equivalent of a Grammy. Five years and two albums later, Milteau decided to revisit his bluesiest roots, touring France at the helm of an explosive outfit assembled especially for the occasion. In addition to the mainstays of his regular band — guitarist Manu Galvin, organist BenoĂźt Sourisse and vocalist Demi Evans —, enrolled an ace African-American rhythm unit with a top reputation on the US blues circuit. Built around bassist extraordinaire Felton Crews a former Miles Davis alumnus who gained his blues credentials with Junior Wells and Otis Rush, the Live Hot n’ Blue band was propelled by the funky drumming of Mark Mack known for his work with James Cotton and enlightened by the fiery guitar and vocals of Andrew Junior Boy » Jones, a Texan who learned his chops with the great Freddie Hot n’ Blue offers fans the finest and bluesiest moments of this memorable 2005 Tour, as JJ and his star outfit give their best in front of capacity crowds enthralled by their said about Live, Hot n’Blue » JAZZMAN The impeccable playing of this harp master is perfectly balanced as always, with plenty of fire, delicacy and excitement to boot
 »JAZZ HOT A superior showman
 this live recording is culled from a set of superb concerts in which Milteau displays fire, intelligence, virtuosity and sheer elegance. Lively, deep and refined music that will appeal to all »L’EXPRESS A live set exuding amazing stage energy »20 MINUTES 
 lively and warm »VIRGIN HEBDO A must !SOUL BAG and his dream team present an ideal show. Swing and emotion, superior harp playing, fine singing and real gutbucket blues
 »BLUES MAGAZINE An exceptional live set where blues and soul create the perfect mix »BCR naturally adds serenity to modesty, virtuosity to humility, never once losing touch with the blues »BLUESBOARDER The blues falls down like hail on mesmerized audiences, making us regret we weren’t there. Playing a lowdown harmonica with typical zest, is lifted up to higher planes by a swinging band. We want more ! » Presse A propos de Live, Hot n’Blue »JAZZMAN Un jeu toujours construit, Ă©quilibrĂ©, totalement maĂźtrisĂ©, d’un goĂ»t trĂšs sĂ»r, mais aussi chaleureux, expressif, sensible et dynamisant
 »JAZZ HOT Un showman d’une qualitĂ© supĂ©rieure
 concerts superbes d’intelligence, de chaleur humaine, de virtuositĂ© et d’une Ă©lĂ©gante simplicitĂ©. C’est vivant, lĂ©ger et profond, raffinĂ© et populaire »L’EXPRESS Un album de tournĂ©e qui possĂšde l’énergie des soirs de concert »20 MINUTES 
 plein de vie et de chaleur »VIRGIN HEBDO Incontournable ! »SOUL BAG et ses acolytes dĂ©roulent le spectacle idĂ©al. Du swing, de l’émotion, de l’harmonica au top, du chant prenant, du blues qui arrache
 »BLUES MAGAZINE Un live de haute volĂ©e
 qui mĂ©lange les genres avec un Ă©gal bonheur »BCR conjugue aisance naturelle et pudeur, virtuositĂ© retenue et humilité  avec toujours ce bon vieux blues en ligne de mire »BLUESBOARDER Le blues se dĂ©verse Ă  grosses gouttes sur une audience qu’on se surprend Ă  envier
 Un canaille, soutenu Ă  la perfection par des complices au swing dĂ©cidĂ©ment impeccable. We want more ! » FRAGILE 2006 MILTEAU avec Michelle SHOCKED & Demi EVANS Mes musiques prĂ©fĂ©rĂ©es, celles qui ont balayĂ© la seconde moitiĂ© du XXe siĂšcle, le Blues, la Soul et le Rock n’ Roll, sont nĂ©es d’une fragilitĂ© que je considĂšre dĂ©sormais comme prĂ©cieuse. Je n’avais jamais envisagĂ© que, du fond des Ăąges, la conscience intuitive de cette fragilitĂ© nous a permis de survivre et surtout de crĂ©er. Pourtant, la civilisation qui devrait ĂȘtre le refus de la loi du plus fort a, dans le fond, une hantise de la fragilitĂ© Ă  laquelle elle tente de rĂ©pondre par des bobards et des intĂ©grismes de toutes au premier chef, l’harmonica est le parangon de la fragilitĂ© ses minuscules lamelles sont animĂ©es par un souffle gĂ©nĂ©ralement Ă©mu, lui-mĂȘme puisĂ© dans un air de plus en plus polluĂ© !Les musiciens et chanteuses affectueusement invitĂ©es sur ce projet, dĂ©montrent dans leur parcours et leur expression que fragilitĂ© ne doit pas se confondre avec faiblesse. On construit finalement plus sur la passion que sur le bĂ©ton et tout ce que nous aimons en demeure Milteau English Version Elvis was incredibly insecure
 in many ways, he reminded me of the Black artists I had worked with
 Sam PhillipsThat statement by Elvis Presley’s producer made me realize that my favorite music, all the Blues, Soul and Rock ’n’ Roll that swept over the second half of the 20th century, was born out of a fragility I have come to treasure. Since the beginning of time, it was the intuitive awareness of this fragility that allowed us to survive, and create. Yet our so-called civilization, although it supposedly rejects the law of the mighty, refuses to accept this fragility, and responds to it with all kinds of lies and fundamentalist credos. The harmonica is the epitome of fragility ; its tiny metal reeds vibrating under the breath of our emotions in increasingly polluted air
 All the musicians and vocalists invited on this project confirm with their flair and experience that fragility should not be confused with weakness. When all is said and done, you simply build more on passion than on concrete, and everything we care for is irrevocably MilteauWhat they wrote about Fragile » LE NOUVEL OBSERVATEUR From the first few notes, you are there. In the heart of the blues. JJ blows and grooves with a lazy feeling that speaks for itself
 This man is the Ben Webster of the Mississippi saxophone
 We owe him big R-E-S-P-E-C-T. »LA DÉPÊCHE There’s more than just blues here, more than the incredibly lustful breath coming out of the harp. This is pure art, you’ll wear out your CD listening to it. »SOUL BAG It’s hard to choose between the haunting instrumentals and the superb vocal tracks on this one. This album confirms that JJ Milteau has his own sound. »LA CROIX These tracks are preciously fragile. They’re as brittle as the life Milteau breathes into his harmonica, as strong as the passion that inspired them. An album you won’t ever get tired of. »FRANCE SOIR Milteau blows with his heart. »BCR La Revue Blues, Country Rock/Roll Milteau has a surprisingly sober way of transporting us to an unsuspected world of groove and feeling. »What they wrote about the SHOW
LE MONDE A brilliant show, bluesy with a touch of rock, bright, sober and groovy. »LE FIGARO Incredibly soulful when he tackles slow blues, breathtaking when he performs uptempo numbers, JJ has an unrelenting way of playing out his soul. The man’s music is nothing but grace and harmony. »L’HUMANITÉ Milteau plays a blues that’s forceful and fiery, thrilling and purposeful. » Presse A propos de Fragile »LE NOUVEL OBSERVATEUR DĂšs les premiĂšres notes, on y est. Au cƓur du bleu. Souffle, feeling, ce groove de lĂ©zard, ça ne trompe pas
 Ce type est le Ben Webster du ruine babine »  Respect. »LA DÉPÊCHE DU MIDI Plus que du blues, plus qu’un souffle Ă©poustouflant de sensualitĂ©, du grand art Ă  Ă©couter en boucle »SOUL BAG Difficile de choisir entre les instrumentaux envoĂ»tants et les titres magnifiquement chantĂ©s. Il y a un son Milteau et ce disque le confirme »LA CROIX Une ’’prĂ©cieuse fragilité’’, aussi dĂ©licate que le souffle de son harmonica et forte Ă  la fois de la passion qui l’inspire. Un disque Ă  Ă©couter en boucle »FRANCE SOIR Milteau souffle au cƓur »BCR La Revue Blues, Country Rock/Roll Milteau nous transporte avec une Ă©tonnante sobriĂ©tĂ© vers des sphĂšres gorgĂ©es de groove et de feeling » BLUE 3RD 2003 MILTEAU avec Gil Scott Heron, Terry Callier, N’Dambi & Howard Johnson Quand j’ai entendu Gil Scott-Heron pour la premiĂšre fois, j’ai rĂ©alisĂ© que le blues n’était que le petit-dĂ©jeuner
 Au-delĂ  de la vĂ©hĂ©mence de ses textes et de la puissance de sa conviction, sa voix possĂšde ce grain mystĂ©rieux et ces inflexions qui m’ont inspirĂ© dans la rĂ©alisation de ce projet dĂ©diĂ© aux Ă©nigmatiques notes bleues » Jean-Jacques Milteau Lire la suite... AprĂšs Memphis », dont la rĂ©ussite artistique a Ă©tĂ© consacrĂ©e par une Victoire de la Musique entre autres rĂ©compenses, Milteau poursuit son voyage exploratoire. L’esprit du blues qui lui est cher reste l’un des Ă©lĂ©ments fondateurs de sa musique, mĂȘme s’il est trop rĂ©ducteur pour rĂ©sumer Ă  lui seul la dĂ©marche crĂ©ative d’un artiste ouvert sur le monde, curieux de la diversitĂ© fois, Jean-Jacques s’éloigne des racines de la musique noire pour pĂ©nĂ©trer plus avant dans l’univers d’une soul qu’il n’avait fait qu’effleurer lors de son pĂ©riple dans le Tennessee. Une soul, entre ballade et jazz, pour laquelle la voix se fait instrument, au mĂȘme titre que le tuba de Howard Johnson
 J’aimerais que mon harmonica puisse sonner comme les voix qui me touchent, prĂ©cise Jean-Jacques, Je voudrais le faire dialoguer avec les instruments qui ont du grain, l’orgue, le tuba ou le baryton. » Le dialogue, instrumental ou vocal lorsqu’il s’engage avec le barde charismatique Gil Scott-Heron, le poĂšte Terry Callier et la princesse Nu Soul N’Dambi, devient alors la ligne conductrice de l’harmoniciste qui dĂ©montre Ă  quel point son instrument s’identifie au souffle dont il est l’émanation et l’esprit. English Version In the wake of his Memphis set, whose artistic success was crowned by various distinctions, among them a “Victoire de la Musique” the French equivalent of a Grammy, Milteau has continued his musical exploration. The spirit of the blues he’s so fond of remains one of the foundations of his music, even if this style, on its own, is too restrictive to describe the creative approach of an artist open to the world and inquisitive about human time, Jean-Jacques has moved away from the roots of Black music to go deeper into the universe of a soul that he’d merely touched on during his travels to Tennessee. A jazzy ballad-type soul for which his instrument takes the place of the human voice, in the same way as Howard Johnson’s tuba
 “I’d like my harmonica to sound like the voices that touch me,” explains “I’m looking for a fruitfult dialogue with grainy instruments like the organ, the tuba, the baritone sax.” This very notion of dialogue, instrumental or vocal when it’s engaged with charismatic bard Gil Scott-Heron, poet Terry Callier and Neo Soul princess N’Dambi, becomes the main thread of the harmonica player, who demonstrates how far his instrument can identify itself with the breath of which it is the emanation and said about Blue 3rd » JAZZMAN This new record finds Milteau as inspired and convincing as ever
 Great songs, fine melodies in a whirlwind of sounds and sensations”FRANCE SOIR Milteau, a great among the greats, dedicates his luminous playing and modest personality to the making of an intimate, harmonically blue album »OUEST FRANCE Milteau’s masterful harp guides us through an emotional album ripe with blues and jazz fragrances, as timeless ballads and brilliant instrumentals vie for the listener’s attention »L’EXPRESS Blue 3rd is JJ Milteau’s best album so far. A formidable mixture of rhythms, sounds and styles, wonderfully served by JJ’s tasteful harp playing. »LE MONDE JJ’s version of Home is where the hatred is », complete with Gil Scott-Heron’s overwhelming vocals, is a true masterpiece of the new millennium, no less »METRO A glorious record 
An intoxating dialogue between vocal and instrumental sounds
 Milteau’s best album so far »JAZZ MAGAZINE The bluest of French harmonica players pays a vibrant tribute to Afro-American music as a whole. Intimate feelings and inspired compositions. An overwhelming success »SOUL BAG Warm, swinging, intimate music. A highly personal, fascinating album »BLUES MAGAZINE Drawing freely from his blues roots, JJ recorded a euphonic set ripe with tuneful instrumentals. Gorgeous melodies and fine songs enhanced by a poetic setting not unworthy of the blaxploitation movies of old »BLUES & CO Milteau is the Albert Einstein of the blues
 The king of groove has never been in finer form, musically and spiritually. Blue 3rd is a superlative collection of soulful blues pearls, tastefully played by an unequalled master of the harmonica. Enjoy ! » Presse A propos de Blue 3rd »JAZZMAN Milteau inspirĂ©, persuasif 
des titres de haute volĂ©e
 un bijou de mĂ©lodie
 une palette variĂ©e d’images et de sensations »FRANCE SOIR Un grand parmi les grands, Milteau, musicien lumineux et aussi talentueux que modeste rĂ©ussi un album trĂšs intimiste
Harmonicalement blues »OUEST FRANCE Un disque chargĂ© de feeling Ă  cƓur, aux arĂŽmes subtils et puissants Ă  la fois, dont l’harmonica du maĂźtre d’Ɠuvre est le fil rouge
 Un arc-en-ciel oĂč alternent instrumentaux lumineux et chansons craquantes
 Funambule entre blues et jazz, une superbe et intemporelle balade »L’EXPRESS Blue 3rd est le meilleur album de Milteau, qui rĂ©ussit Ă  marier les rythmes, les musiques, les voix, le tout emballĂ© par son harmonica, qui n’a jamais si bien trouvĂ© sa place »LE MONDE Home is where the hatred is, un titre extraordinaire, un des premiers chef-d’Ɠuvres du XXIe siĂšcle »METRO Un disque sublime
Une enivrante discussion entre les voix et les instruments
 Sans conteste son meilleur album »JAZZ MAGAZINE Le plus bleu des harmonicistes français rend hommage Ă  l’esprit soul de notre musique noire prĂ©fĂ©rĂ©e, celle qui se soucie plus du feeling que des Ă©tiquettes
 Compositions inspirĂ©es
Que du bonheur »SOUL BAG La musique est dansante au possible, tout en restant intimiste et chaleureuse
 Un disque personnel et attachant »BLUES MAGAZINE Mieux qu’un disque de genre, a gravĂ© un album de mĂ©lodies oĂč les instrumentaux glissent comme des chansons
Un son voluptueux
 JJM donne Ă  cette pluvieuse rĂȘverie le confort familier, poĂ©tique d’un polar des annĂ©es 70 »BLUES & CO Albert Einstein du blues
Le Docteur Ăšs groove Milteau n’a jamais Ă©tĂ© aussi loin musicalement et son imaginaire n’avait jamais atteint un tel paroxysme
 Blue 3rd regorge de pĂ©pites et de petits joyaux bluesy, dans lesquels excelle un sensoriel funambule du ruine babines
Place au festin ! » » MEMPHIS 2001 MILTEAU avec Little Milton, Mighty Sam McClain & Mo Rodgers Memphis, dit-on, serait la ville la plus citĂ©e dans les textes des chanteurs amĂ©ricains. La qualitĂ© de l’air doit au moins y ĂȘtre spĂ©ciale puisque les harmonicistes les plus inspirĂ©s s’y sont croisĂ©s Will Shade, crĂ©ateur du Memphis Jug Band et patriarche de l’instrument, Rice Miller alias Sonny Boy Williamson II, le plus expressif de tous, James Cotton, le porteur du flambeau, Walter Horton et son style tout en finesse, les hommes orchestres Dr. Ross et Joe Hill Louis, les crooners » Junior Parker et Junior Wells, Charlie Musselwhite, l’Indien survivant, sans oublier Little Walter dont on raconte qu’il a dormi sur une table de billard lors de son premier sĂ©jour Ă  pour moi, c’est avant tout un son le feulement de l’orgue Hammond, le groove veloutĂ© du piano Wurlitzer, le staccato brĂ»lant de la guitare, et surtout les voix. Des voix soul gorgĂ©es de gospel. Des voix venues de si loin qu’elles font frissonner et monter les larmes quand elles jaillissent chaque fin de semaine d’un juke joint sur McLemore, d’une Ă©glise sur Union ou d’un club sur Beale Street. Le petit harmonica Marine Band m’a, une fois de plus, servi de sĂ©same pour aller Ă  la rencontre de ces voix, de cette musique, de ces personnages pour lesquels j’éprouve, depuis si longtemps, admiration et tendresse. Qu’ils soient remerciĂ©s pour leur talent et leur Ă©mouvante Milteau English Version JJM, Little Milton, Mighty Sam McClain & Mo Rodgers Studio RoyalThey say Memphis is the most widely quoted city in American songs. The air you breathe in Memphis must have some special quality, judging from the number of harmonica players who blew some of their most inspired solos there Will Shade, founder of the Memphis Jug Band, one of the fathers of the blues harp ; Rice Miller, better known as Sonny Boy Williamson 2, the most expressive of all ; James Cotton, who still carries the torch today ; Walter Horton, a keen and subtle master ; one-man bands Dr. Ross and Joe Hill Louis ; blues wailers Junior Parker and Junior Wells ; Charlie Musselwhite, the last of the Mohicans ; Little Walter, of course, who spent his first night in Memphis sleeping on a pool table, or so goes the legend. For me, Memphis is a sound. The roar of the powerful Hammond B3, the silk-smooth groove of the Wurlitzer, the scorching hot guitar staccato and, most of all, the magic of voices. Gospel-drenched soul voices, coming from so far away that they make you shiver and weep as they come oozing out of a juke joint on East McLemore, of a church on Union, of a club on Beale. Once again, the tiny Marine Band harp opened doors for me, giving me access to the Memphis sound, providing me with an introduction to singers and musicians I’ve admired and loved all my life. This album will remind them how grateful I feel for sharing with me their talent and MilteauThey said about Memphis » “Victoire de la Musique” for Best Blues Album “Choc de l’annĂ©e” Jazzman magazine “Indispensable” Jazz HotSOUL BAG A superlative soul-blues offering, both traditional and bold »VIRGIN MEGAPRESSE A groovy set not to be missed »JAZZ HOT A thrilling album by a masterful player »LE FIGARO A superb voyage in blues and soul land »L’EXPRESS A well-balanced repertoire encompassing classics and new compositions with much cleverness, and the blessing of top US players »LIBÉRATION Today’s blues at its best »L’HUMANITÉ A preciously warm record »LE MONDE Milteau’s finest and most rewarding recording so far » Presse A propos de Memphis » Victoire de la Musique, Meilleur Album Blues – Choc Jazzman, de l’annĂ©e – Indispensable, Jazz HotSOUL BAG Un disque de soul blues, Ă  la fois respectueux de la tradition, moderne et audacieux »VIRGIN MEGAPRESSE Un album formidablement groovy » Un rĂ©gal total »JAZZ HOT Un CD passionnant »LE FIGARO Un superbe album blues et soul »L’EXPRESS Entre standards et crĂ©ations, un casting magnifique »LIBÉRATION Un blues ancrĂ© dans l’actualitĂ© »L’HUMANITÉ Un album prĂ©cieux »LE MONDE Son album le plus abouti » MANQUE PAS D'AIR 2000 Prix Coup de coeur disques pour enfants 2001 » de l'AcadĂ©mie Charles Cros Un disque de Jean-Jacques Milteau, rĂ©alisĂ© par Musique & SantĂ© pour dĂ©couvrir les plaisirs de l’harmonica mais aussi l’utiliser comme alliĂ© pĂ©dagogique pour une meilleure prise de conscience du souffle. ParticuliĂšrement utile pour les enfants atteints de maladie respiratoire asthme, mucoviscidose
 BASTILLE BLUES 1999 JJM Instrumental Bastille Blues » est un rendez vous des musiciens les plus demandĂ©s de la scĂšne française au tournant du siĂšcle. L’harmonica y est justement cĂ©lĂ©brĂ© par un duo avec Olivier Ker Ourio et une initiation Ă  l’instrument intitulĂ©e À vous de jouer ». BLUES LIVE 1998 EnregistrĂ© Ă  Paris Ă  l’Utopia Jazz Club, au ZĂ©nith et au Petit Journal Montparnasse - 8 titres inĂ©dits - double CD Blues Live » reflĂšte la grande Ă©poque du CafĂ© Concert Utopia dans le 14e arrondissement de Paris, lieu de rencontre adulĂ© des amateurs de musique live. MĂȘme si quelques titres ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s ailleurs, c’est essentiellement l’esprit du Club qui anime ce double album. MERCI D'ÊTRE VENUS 1996 100Ăšme anniversaire du Marine Band Les prĂ©paratifs d’un anniversaire sont souvent fĂ©briles, surtout celui d’un ami cher, surtout le centiĂšme
Pour cĂ©lĂ©brer dignement l’évĂ©nement, j’avais invitĂ© quelques prestigieux convives et lĂ , au moment d’allumer les bougies, je me suis demandĂ© vont ils vraiment venir » ?Et puis ils sont arrivĂ©s, l’un aprĂšs l’autre, dans le petit studio ; gentils, attentionnĂ©s, disponibles, humains en somme
FRANCIS C. qui change tout dedans et tout autour,MAXIME L. l’Ɠil pĂ©tillant comme ses billes de verre,CHARLES A. qui nous a parlĂ© du bonheur,DIDIER L. son violon et leurs Ăąmes,FLORENT P. fidĂšle par dessus des montagnes et au delĂ  des plaines,EDDY M. la banane et les bottes bien lĂ©chĂ©es,RICHARD B. sa belle gonzesse, sa belle gueule et sa nuit,JEAN-YVES D. leader de talent et pourfendeur du doute,MICHEL J. et ses fourmis qui donnent le frisson,CLAUDE N. Don Juan chevauchant le tempo,MANUEL G. tout de feeling, d’humour et de tendresse,PATRICK V. en nounou raconteur de blues,Ce fĂ»t une bien belle fĂȘte ; alors on s’est dit qu’on remettrait ça dans cent ans
Je suis dĂ©jĂ  impatient. JJ Milteau ROUTES 1995 Souvenirs de voyages Un carnet de route dĂ©diĂ© Ă  mon plus fidĂšle compagnon de voyages, rĂ©els ou imaginĂ©s, le petit harmonica Marine Band, le Souffle du Blue »JJ Milteau EXPLORER 1991 Victoire de la Musique 1992 Le reflet d’une Ă©poque un peu folle, oĂč mĂȘme un album d’harmonica pouvait ĂȘtre couronnĂ© d’une Victoire de la Musique ! To Paul Butterfields, respecfully
 »JJ Milteau BLUES HARP 1989 Recueil d’anciens enregistrements Une compilation des premiers enregistrements de Milteau pour le Chant du Monde entre 1973 et 1983. Un jeu fougueux, aux confins du blues, du rock et de la musique country, qui a inspirĂ© nombre de ses jeunes Ă©mules. À noter, le trĂšs sensible Tommy avec Pierre Fanen Ă  la guitare, AA Booghee enregistrĂ© Ă  Nashville et Blues Harp qui module cinq fois sur le mĂȘme harmonica. English version Blues Harp – 1989 Older Harmonica WorkThis album is a compilation of the best recordings made by JJ for the Chant du Monde label between 1973 and 1983. His fiery blues-harp playing, heavily tinged with rock and country strains, has influenced a host of younger players since. Of special note, JJ’s superb “Tommy” with Pierre Fanen on guitar, the superlative “ Booghee” recorded in Nashville, as well as the album’s title cut, “Blues Harp,” a technical tour de force in which JJ solos in five different keys without changing harp. BON TEMPS ROULER 2006 La Playlist idĂ©ale de JJ Milteau Blues, Soul, Rhythm & Blues JJ Milteau anime depuis plusieurs annĂ©es sur TSF Jazz l’émission Bon Temps Rouler » consacrĂ©e au Blues et Ă  la Soul, des racines aux branches. Ce CD rassemble quelques-uns des artistes et des titres les plus reprĂ©sentatifs d’une programmation originale et Ă©clectique, soigneusement remasterisĂ©s A l’instar de la peinture italienne, de la littĂ©rature française, ou de la cuisine chinoise, le Blues fait partie du patrimoine universel de l’humanitĂ©. Il nous a enseignĂ© de nouveaux vocabulaires et de nouveaux sons. Il a engrossĂ© bien d’autres modes d’expression, donnant naissance Ă  une foule de petits bĂątards, du Jazz au Rock, de la Soul au Rap, du R n’B aux road movies. Enfin, il nous a offert une vision particuliĂšre et originale du monde qui nous entoure ; n’est-ce pas lĂ  une dĂ©finition de l’art, tout simplement ?Cet album n’a pas Ă©tĂ© conçu comme un Best of » ; une telle entreprise relĂšverait de la chimĂšre. Plus simplement, il poursuit sur un autre support l’ambition de mon Ă©mission sur TSF Jazz donner du Bon Temps, et aussi l’envie d’en savoir plus sur ces musiques et ces musiciens qui ont pacifiquement bouleversĂ© la culture du XXe siĂšcle. » Milteau BON TEMPS ROULER 2008 SpĂ©cial Alligator Records Hommage mĂ©ritĂ© au dernier des grands labels de blues amĂ©ricain, modĂšle de passion et de pugnacitĂ© indispensables Ă  faire vivre la musique
 J’aimais bien l’image sudiste de l’alligator, et le fait qu’en argot noir-amĂ©ricain, un alligator est un type cool. Je cherchais aussi un mot commençant par la lettre A, pour ĂȘtre sĂ»r que mes factures atterrissent en haut de la pile chez mes crĂ©anciers. »Une pincĂ©e d’imaginaire et une pincĂ©e de rĂ©alisme
 c’est en concoctant ce cocktail un brin contradictoire que Bruce Iglauer donnait naissance en 1971 au label qui personnifie aujourd’hui la survie du blues Ă  Chicago, Alligator Records.
 Lire la suite... À 24 ans, cet habituĂ© des clubs du ghetto vient de dĂ©couvrir Hound Dog Taylor, un maĂźtre de la slide ce tube mĂ©tallique que l’on glisse sur le manche de la guitare pour obtenir des glissandos lyriques qui Ă©cume Ă  la semaine les bars du South Side. À l’aide des 2500 dollars hĂ©ritĂ©s peu auparavant d’un grand-pĂšre disparu, le jeune Iglauer enregistre le vieux bluesman et part Ă  la conquĂȘte de l’AmĂ©rique, des piles de 33-tours plein le coffre de sa voiture dĂ©crĂ©pite, dĂ©marchant distributeurs et animateurs de radio. Mon intention Ă©tait de vendre l’album de Hound Dog Ă  des gens comme moi, prĂ©cise Iglauer. C’est Ă  dire Ă  un public Ă©tudiant qui avait dĂ©couvert le blues dans les annĂ©es soixante grĂące aux Rolling Stones ou Ă  John Mayall. »PrĂšs de quatre dĂ©cennies plus tard, avec un catalogue riche de plusieurs centaines de rĂ©fĂ©rences, la marque aux dents longues a Ă©largi sa cible en sachant se faire apprĂ©cier des amateurs de blues du monde entier. Dans l’intervalle, le parcours n’aura pas Ă©tĂ© de tout dĂ©but des annĂ©es 1970, le blues n’a plus le vent en poupe dans les ghettos amĂ©ricains alors que souffle le vent militant de la rĂ©volution soul. Imperturbable, Iglauer installe chez lui sa micro entreprise les bureaux dans la chambre d’amis et le stock Ă  la cave. Le soir, lorsqu’il ne suit pas Hound Dog en tournĂ©e On en voyait des vertes et des pas mĂ»res, sur la route. Je me souviens d’un jour oĂč un organisateur de concert a sorti son couteau quand je suis venu chercher le cachet des musiciens. », Iglauer Ă©cume les tavernes du South Side Ă  la recherche de nouveaux artistes. Successivement, il sort de l’oubli l’harmoniciste Big Walter Horton, rĂ©vĂšle les guitaristes Son Seals et Fenton Robinson, donne son Ă©lan Ă  la carriĂšre de Koko que l’arrivĂ©e du disco semble donner le coup de grĂące au blues Ă  la fin de la dĂ©cennie, Alligator recrute l’une des lĂ©gendes de la tradition texane, Albert Collins. ParallĂšlement, Iglauer documente le quotidien des clubs de la Windy City grĂące Ă  une anthologie audacieuse, Living Chicago Blues », avant d’ouvrir l’horizon de sa compagnie en recrutant Johnny Winter. Bien lui en prend le premier recueil Alligator du blues-rocker passe la barre des 100 000 exemplaires vendus et le petit Poucet du blues entre en fanfare dans la cour des grands. En l’espace de quelques mois, Iglauer se retrouve Ă  la tĂȘte d’une PME de 25 employĂ©s et son catalogue de blues traditionnel part Ă  la rencontre du grand public, portĂ© par le succĂšs commercial de Winter, Roy Buchanan et autres Delbert renouveau planĂ©taire du blues qui accompagne la fin du siĂšcle achĂšve de donner Ă  Alligator la dimension internationale qu’on lui connaĂźt dĂ©sormais. Face Ă  une demande croissante, Iglauer a pu dĂ©velopper sa production et tout ce qui compte dans le milieu du blues aura effectuĂ© un stage plus ou moins long au sein de son Ă©curie. Aujourd’hui, dans un monde du disque en pleine mĂ©tamorphose, Alligator poursuit sa route en Ă©vitant savamment les Ă©cueils, et tout donne Ă  penser que la musique premiĂšre de l’AmĂ©rique noire vivra encore longtemps grĂące Ă  l’opiniĂątretĂ© de cette major du blues. On le sait, l’alligator est un animal qui vit vieux. Jean-Jacques Milteau & Sebastian Danchin INSPIRATION 2002 & 2005 22 Great Harmonica Performances » 200222 Rare Harmonica Performances » 2005 Plus que les termes d’hommage ou d’admiration, celui de tendresse me vient naturellement en pensant aux harmonicistes prĂ©sents sur ces recueils. Musiciens ou vagabonds, gĂ©nies ou artisans, leur souffle a bercĂ© mon imaginaire. Adolescent, le petit instrument m’est apparu comme un modeste glaive contre l’injustice entre les lĂšvres de Bob Dylan, Woody Guthrie ou Sonny Terry. Une maniĂšre d’affirmer que l’intensitĂ© de l’émotion n’est pas tributaire des moyens employĂ©s, mais de la sincĂ©ritĂ© partagĂ©e. Puis j’ai dĂ©couvert l’hypersensibilitĂ© de Sonny Boy Williamson, l’inventivitĂ© jaillissante de Little Walter, l’incroyable musicalitĂ© de Stevie Wonder
Les annĂ©es passant, je persiste Ă  croire que, davantage que la virtuositĂ©, les qualitĂ©s essentielles d’un harmoniciste restent sa naĂŻvetĂ© et son idĂ©alisme. Il n’existe peut-ĂȘtre pas d’harmonica heroes, mais tous ceux qui figurent sur ces CDs ont apportĂ© Ă  des milliers de gens bien plus que ne le laisse supposer la modestie de l’instrument. Inspiration » est dĂ©diĂ© Ă  tous les musiciens que je n’ai pas pu, faute de place ou d’autorisation, inclure ici et plus largement Ă  tous ceux qui ont affectueusement rĂ©chauffĂ© un harmonica de leur souffle, au creux de leurs mains, un soir de solitude 
 Milteau Lire la suite C’est un acte de tendresse et de gratitude que celui de Milteau rassemblant dans Inspiration 22 enregistrements d’harmonica rares ou historiques, de 1928 Ă  nos jours ». Ici, le plus cĂ©lĂšbre harmoniciste français a rĂ©uni ses confrĂšres les plus Ă©minents, et ceux qui lui ont apportĂ© ce qu’affiche le titre de la collection. Aussi, le profane ne s’étonnera pas de relever dans la sĂ©lection quelques-uns des grands maĂźtres du blues, le registre favori de Milteau. James Cotton, Sonny Terry, Little Walter, Sonny Boy Williamson
 illustrent, chacun Ă  leur maniĂšre, l’usage du petit Marine Band – l’harmonica fĂ©tiche des bluesmen – et du chromatique. Mais le travail de Milteau se veut aussi historique, et, guidĂ© par un livret complet riche en rĂ©fĂ©rences, dates, et dĂ©tails, on va Ă  la rencontre de figures comme Larry Adler avec Django Reinhardt, qui demeure la star mondiale de l’harmonica au mĂȘme titre que celui qui l’accompagne fut celle de la guitare. On croise aussi l’harmonica dans des styles inattendus Hugo Diaz dans La Compañera » et dans des registres complexes, comme cette GymnopĂ©die n° 1 » d’Erik Satie jouĂ©e par Toots Thielemans. Et le moindre des mĂ©rites de Milteau n’est pas de nous prĂ©senter, Ă  cĂŽtĂ© de ces signatures prestigieuses, la relĂšve de l’instrument avec les virtuoses et les crĂ©ateurs que sont Greg Szlapczynski Moody » ou Eric Chafer Intro », auteur d’un instrument personnel Ă  l’accordage unique. Rarement hommage aussi complet et aussi Ă©clectique fut rendu Ă  l’ Ruiz Famille Liggio, 2 Royal Street Agora Quod Erant. Ad litteram. Les archives du journal. Auteur Message The Saboteur Lecteur IdentitĂ© The-Saboteur Grade *Absent* Sujet Ce n’est qu’un au revoir
 1545 Ce n'est qu'un au revoir*Cette video peu choquĂ©, par sa vulgaritĂ©e mais nous somme dans un monde mafieux, non ?*La pluie tombe lentement en ce soir sombre. Le sol est acculĂ© par la douce brise, les flaques de pluies frĂ©missent laissant des vagues d'amertumes sur celles ci. Au loin quelque chose s'approche, les bruits sonnent dans la rue dĂ©serte comme plusieurs coups de tambours battants, chaque pas perfore le sol d'un coup sec infligĂ© au bitume. Le bruit court dans la nuit, et brutalement la personne chute lourdement sur le sol, sa tĂȘte embrasse la flaque d'eau avant que l'os de son crane se fracasse contre la pierre mais tel un spartiate de l'ancien temps il se redresse et reprend sa course. La personne court. Quelque chose la poursuit, il est seul dans la nuit. Son ombre me fait penser Ă  celle d'un singe, petit et habile, un enfant peut ĂȘtre, un macaque face Ă  deux gorilles, son destin est tout tracĂ©, pauvre enfant. Cette nuit lĂ  Ă©tait particuliĂšrement longue. Le temps se figeait peu Ă  peu, l'Ă©corce de mon arbre pleurait de la sĂšve miroitant mon inquiĂ©tude comme un reflet sur une glace brisĂ©e. Mes petits yeux d'animal perdu se baissaient, comme la Lune se couche dans le ciel Ă  l'approche du soleil tout puissant. Bart me poussa alors de son bras droit. J'avançais sans me poser de question. Nous montĂąmes alors un Ă©trange escalier. Je me collais contre le mur comme un insecte, j'attrapais le long corridor de bois avec les mains afin de me faufiler. L'ambiance Ă©tait savez probablement de qui ou plutĂŽt de quoi, de quel sujet nous allons parler aujourd’hui je vais tenter encore une fois de ne pas raconter ma vie comme j’ai l’habitude de le faire dans mes articles. Je sais que certain n’aiment pas trop les articles trop, bien que je pense que celui-ci le sera il mĂ©ritĂ© nĂ©anmoins d’ĂȘtre lus car j’estime qu’il est intĂ©ressant. Enfin bref pour ceux qui n’avaient pas compris, je pense bien sĂ»r Ă  Kepts *smille* nous allons parler aujourd’hui de la fermeture de la Criminal Section mafia qui avait pourtant, je peux le dire extrĂȘmement bien commencĂ©e et qui avait sa place avec les plus grande mafias de l’hĂŽtel. Mafia qui avait sus montrer sa valeur par dĂ©monstration de force. Chaque membre de celle-ci avait apportĂ© sa pierre Ă  l’édifice afin de rivaliser avec les plus grandes puissances de l’hĂŽtel mais il se trouve que ça n’a pas suffit. Je reviendrais donc aujourd’hui sur la naissance de se projet, les cause de sa fin sans oublier de parler de son apogĂ©e car elle est entrĂ©e dans l’histoire du monde tout d’abord sur les dĂ©buts de celles-ci. Souvenez vous il a quelque temps quand une Ă©quipe de choc, je parle bien sĂ»r de Harsenik, de allias Zeler746 sans oublier –Sofiano, T-I et -Benzema67- qui rejoindra la Criminal Section aprĂšs une longue infiltration Ă  la Spades Assembly. HĂ© oui cette mafia qui c’est tout de suite imposĂ© dans le monde mafieux grĂące Ă  ses gros coup, je parle bien sĂ»r des c’est nombreux gros coup comme tout d’abord le saccage de la Compton Family en Mai 2009 Sans oublier le saccage de L’organisation en Avril 2009 HĂ© bien sĂ»r leur plus beau saccage, celui de la Spades Assembly Mais ce n’est pas ses sigles qui l’ont fait connaĂźtre, enfin, si c’est bien sĂ»r ces sigles mais c’est plus particuliĂšrement la façon dont ils ont Ă©tĂ© effectuĂ©, je parle bien sĂ»r pour chacun d’eux d’infiltration, plus particuliĂšrement pour le saccage de la Spades Assembly, car en effet Benzema avait infiltrĂ© un peu plus de deux ans pour pouvoir enfin saccager la mafia en question. Tout ça pour vous dire que la Criminal Section a beaucoup souffert, en effet cette mafia n’a pas Ă©tĂ© prise au sĂ©rieuse directement, souvent comparĂ© a une mafia dite pyjama, et ajouter ça avec quelques problĂšmes de membres et a cause ou plutĂŽt grĂące Ă  ça elle a fermĂ©e, vous comprendrez le grĂące » dans la phrase qui va suivre. HĂ© oui aprĂšs cette fermeture elle est revenue en puissance et a rĂ©ussis Ă  saccager l’Organisation puis la Spades Assembly, les screens sont plus haut. Mais ce n’est qu’il y a quelques jours que nous avons appris avec non pas dĂ©gout mais tristesse la fermeture de celle-ci, voici ce que leur Grand Conseil a annoncĂ© La CS vous annonce qu'elle ferme. Les raisons sont que la moitiĂ© des GC / HG n'a plus le temps pour ce jeu, les examens arrivent donc on prĂ©fĂšre ce concentrer sur l'IRL. Pour ceux qui Ă©taient vraiment CS, merci pour avoir apporter un peu Ă  la CS, dĂ©solĂ© si vous avez perdu votre temps ici mais bonne continuation. Ce fut une belle aventure et on en aura mis a terre plus d'un SA x2, OA... Peace L » A noter que la Criminal Section ne s’est jamais faite siglĂ©e. C’est pour les raisons dites plus hauts que j’ai Ă©crit cet hommage Ă  cette mafia qui est entrĂ©e dans l’histoire mafieuse. Il est aussi Ă  noter que quelques jours aprĂšs la Criminal Section a saccagĂ© une deuxiĂšme fois la Spades Assembly c qui confirme donc que mĂȘme fermĂ©e elle s’impose parmit les plus grandes familles. *Pose une rose* __________Pour la plupart des mecs, tuer finissait par devenir une chose admise. Le meurtre c'Ă©tait le seul moyen que tout le monde marche droit. Pour certains mecs buter les gens c'Ă©tait devenu une habitude. Deux mecs s'engueulaient pour une connerie et avant que t'aies pu faire ouf y en avait un de mort. C'Ă©tait la routine tout ça...Money, Power, Respect Alexis Liggio Sang Liggio IdentitĂ© Grade Capo invĂ©tĂ©rĂ© Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 1632 Vraiment dommage, en grande perte d'Ă©lan depuis l' continuation Ă  tous les membres CS. __________La nouveautĂ© constitue toujours une condition de la jouissance.» Delfino Liggio Sang Liggio IdentitĂ© Mydoz Grade SottoCapo. Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 1635 Dommage pour eux. __________Delfino Crime Family. The Saboteur Lecteur IdentitĂ© The-Saboteur Grade *Absent* Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 1714 Oui, bonne continuation. __________Pour la plupart des mecs, tuer finissait par devenir une chose admise. Le meurtre c'Ă©tait le seul moyen que tout le monde marche droit. Pour certains mecs buter les gens c'Ă©tait devenu une habitude. Deux mecs s'engueulaient pour une connerie et avant que t'aies pu faire ouf y en avait un de mort. C'Ă©tait la routine tout ça...Money, Power, Respect Kab. Lecteur IdentitĂ© Tommy Calabrese Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 1745 Peace mens. __________Tommy " Tom " CalabreseRecrue 5 FĂ©vrier 2012. The Saboteur Lecteur IdentitĂ© The-Saboteur Grade *Absent* Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2003 La liggio a ses portes grandes ouvertes. __________Pour la plupart des mecs, tuer finissait par devenir une chose admise. Le meurtre c'Ă©tait le seul moyen que tout le monde marche droit. Pour certains mecs buter les gens c'Ă©tait devenu une habitude. Deux mecs s'engueulaient pour une connerie et avant que t'aies pu faire ouf y en avait un de mort. C'Ă©tait la routine tout ça...Money, Power, Respect Orlando Liggio Sang Liggio IdentitĂ© La silhouette furtive Grade Le GĂ©nĂ©ral Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2008 C'Ă©tait un bon dĂ©but, bonne chance pour vos examens. __________THESE FAMILIES ARE FILLED WITH COWARDS DISGUISED AS MENPrideOfSouth Orlando Corleonesi Liggio » dit le GĂ©nĂ©ral PAP55TV TraĂźtre IdentitĂ© PAP55TV Grade Traitre Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2017 Belle article, je souhaite une bonne continuation Ă  tout les membres de la CS qui le mĂ©ritent. Matto' Visiteur IdentitĂ© Mattofwin Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2134 Mouais, j'ai jamais aimĂ© cette nouvelle mafia, de plus, ils disent que benzema a infiltrĂ© 2ans, c'est pas vrais, il s'est juste fais corrompre ou un truc du genre, car y a 2ans la CS n'Ă©tait pas lĂ ... __________Money, Power & DrugsVeni, Vedi, VicciLe fil tisse tes liens et les liens tisse ton avenir Manfreddo TraĂźtre IdentitĂ© Manfreddo Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2148 Matto' a Ă©crit Mouais, j'ai jamais aimĂ© cette nouvelle mafia, de plus, ils disent que benzema a infiltrĂ© 2ans, c'est pas vrais, il s'est juste fais corrompre ou un truc du genre, car y a 2ans la CS n'Ă©tait pas lĂ ... La CS n'existe pas depuis deux ans mais depuis quelques mois avant le saccage de ĂȘtre qu'il avait ce projet de crĂ©er sa famille depuis le dĂ©but, qui bon dĂ©but malgrĂ© tout Kab. Lecteur IdentitĂ© Tommy Calabrese Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2230 Matto' a Ă©crit Mouais, j'ai jamais aimĂ© cette nouvelle mafia, de plus, ils disent que benzema a infiltrĂ© 2ans, c'est pas vrais, il s'est juste fais corrompre ou un truc du genre, car y a 2ans la CS n'Ă©tait pas lĂ ... Tu connais " construire un projet dans l'ombre " ? __________Tommy " Tom " CalabreseRecrue 5 FĂ©vrier 2012. Ambrosino Liggio Vecchio Liggio IdentitĂ© Sofiano "Le CaĂŻd" Grade Affranchi Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2234 Matto' a Ă©crit Il s'est juste fais corrompre ou un truc du genre, car y a 2ans la CS n'Ă©tait pas lĂ ... D'oĂč tiens-tu cette information ? Ce n'est pas la peine de dire des choses auxquelles toi-mĂȘme tu n'es pas sur de ce que tu dis. Benzema ne s'est jamais fait corrompre, c'est bien la vĂ©ritĂ© ce qu'a dit TS, d'ailleurs bel article . Bref, j'aimais cette mafia dommage qu'elle ferme, peace. __________Ambrosino Sofiano» Corleonesi dit "Le CaĂŻd""Mieux vaut mourir honorablement que trahir la Famille et vivre comme un paria." Jazt' Avocat de la Liggio IdentitĂ© Jazt Grade Nekfeu voice Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2235 Lol la CS existait dĂ©ja avnt, j'avais vus le forum Ă  la fermeture ML Ambrosino Liggio Vecchio Liggio IdentitĂ© Sofiano "Le CaĂŻd" Grade Affranchi Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2237 Jazt' a Ă©crit Lol la CS existait dĂ©ja avnt, j'avais vus le forum Ă  la fermeture ML Tu vois, dĂ©jĂ  une petite preuve Bref on va pas faire un dĂ©bat sur ce sujet. __________Ambrosino Sofiano» Corleonesi dit "Le CaĂŻd""Mieux vaut mourir honorablement que trahir la Famille et vivre comme un paria." Swepts Lecteur IdentitĂ© Swepts Grade RetirĂ© en Sicile. Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2247 Bonne continuation aux membres CS. __________Leone "Swepts" Abruzzi Kab. Lecteur IdentitĂ© Tommy Calabrese Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2249 En tout cas, un petit rĂšgne, mais bien marquĂ© x]. __________Tommy " Tom " CalabreseRecrue 5 FĂ©vrier 2012. Romain Liggio Vecchio Liggio IdentitĂ© Romevo Grade SottoCapo Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2300 Bonne continuation Ă  tous les membres CS. Dans l'article qui avais Ă©tait fait sur habbomafia benzema avais bien expliquĂ© que le projet Ă©tait construit dans l'ombre depuis un bout de temps. __________ .Vladimir Visiteur IdentitĂ© .Vladimir Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 217 Je souhaite dire merci Ă  toute la famille liggio merci beaucoup Ă  vous de votre toi T-S belle article ..Vladimir => Alka91 PAP55TV TraĂźtre IdentitĂ© PAP55TV Grade Traitre Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 951 Vladimir ce n'est pas le bon endroit pour dire cela, soit bonne route. -Benzema67- Visiteur IdentitĂ© -Benzema67- Grade / Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 1354 Matto' a Ă©crit Mouais, j'ai jamais aimĂ© cette nouvelle mafia, de plus, ils disent que benzema a infiltrĂ© 2ans, c'est pas vrais, il s'est juste fais corrompre ou un truc du genre, car y a 2ans la CS n'Ă©tait pas lĂ ... Tu crois que je m'appelle Mattof pour me faire corrompre ?Et si la CS Ă©tait en attente depuis 2 ans Aout 08 juste aprĂšs la fermeture ML et si j'ai infiltrĂ© pendant 2 ans, demande a Albz ou Teodore qui Ă©tait CS a l'Ă©poque avant de parler. Et de plus j'Ă©tais CS sous le compte "Amenosa" regarde sa date de crĂ©ation, bref. sorry du HSMerci pour la news trĂšs bien rĂ©digĂ©e T-S, ce fut une bonne aventure la CS, dommage. Derino Famille Liggio IdentitĂ© Lieutenant V. Grade SottoCapo. Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 1417 Respect The Saboteur Lecteur IdentitĂ© The-Saboteur Grade *Absent* Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 1431 Franchement t'as tout mon respect Benz' __________Pour la plupart des mecs, tuer finissait par devenir une chose admise. Le meurtre c'Ă©tait le seul moyen que tout le monde marche droit. Pour certains mecs buter les gens c'Ă©tait devenu une habitude. Deux mecs s'engueulaient pour une connerie et avant que t'aies pu faire ouf y en avait un de mort. C'Ă©tait la routine tout ça...Money, Power, Respect Zeler Visiteur IdentitĂ© Zeler746 Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 1454 J'avoue une tres belle aventure, Rom ta news m'a fait bandĂ© Nico Liggio Sang Liggio IdentitĂ© Nico Liggio Grade Avocat Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 2137 Dommage qu'elle est pas fait parler plus d'elle mis-Ă -part ses gros coups car le potentiel Ă©tait lĂ , elle a su frapper fort Ă  deux reprises mais l'activitĂ© suite Ă  ça a Ă©tĂ© peu prĂ©sente et peu marquante pour notre RPG, cependant elle n'en a pas Ă©tĂ© ridicule et je ne serai pas Ă©tonnĂ© d'un jour la revoir refaire surface, je sais que tu le penses dĂ©jĂ  Zeler. Bonne chance Ă  tous les anciens de la Criminal-Section. __________Le courageux meurt une seule fois, le lĂąche plusieurs fois par jour.»Une famille ne peut conquĂ©rir que si ses dirigeants regardent dans la mĂȘme direction. Contenu sponsorisĂ© Sujet Re Ce n’est qu’un au revoir
 Ce n’est qu’un au revoir
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ce n est qu un au revoir harmonica